amants du passé (4) - Histoires de Sexe

amants du passé (4)

Amants de l’instant (4)

Me voilà devant une villa protégée par un grand portail blanc, prolongé de part et d’autre par un magnifique mur en pierre. Cela mettait hors de vue l’ensemble de la maison et du jardin.

Je vérifie l’adresse envoyée hier par Dan « 57 rue des digues de Ré ».

Il m’avait envoyé un SMS la veille « Si tu veux retrouver ta lingerie, retrouve-moi demain 14h à la maison, je t’envoie l’adresse... »

La petite pancarte « 57 » sur le côté du portail me confirme que Dan habite bien ici.

Je sonne et j’attends.

Les températures sont toujours aussi chaudes et douces pour un mois de septembre.

Je suis vêtue d’une robe blanche d’été, fluide, légère et transparente par endroit. Elle descend de mes épaules et offre un joli décolleté en V. Petit nœud resserrant ma taille et s’ouvrant par des boutons sur le devant de la robe. J’entends l’interphone grésiller « Rentre, je suis sur la terrasse », le portail s’ouvre. Je me glisse à l’intérieur de cette jolie villa. Je suis le chemin en cailloux blanc qui me conduit vers le jardin où, je suppose, se trouve la terrasse. Une bifurcation sur la gauche me propose de me diriger vers la porte d’entrée, une autre sur la droite poursuit le chemin. Je continue sur ma droite, contourne la maison et arrive sur une magnifique terrasse en bois. Dan est allongé sur un transat, installé en direction de la piscine. A mon arrivée, il soulève ses lunettes de soleil et m’accueille par un de ses sourires si chaleureux. Je ...

... vois dans son regard, la petite étincelle de désir s’allumer, je reconnais ce regard...

Il se lève, s’approche de moi, me saisit la taille d’une main et fait glisser ses lèvres sur ma joue pour me saluer.

Je sens son odeur, naturelle, mais délicatement parfumée par son gel douche. Il est torse nu, simplement vêtu d’un short de bain, son corps musclé mis en valeur par son bronzage estival. J’ai terriblement envie de ce corps...

Mais déjà, il s’éloigne pour m’apporter un verre, j’en profite pour regarder ses fesses rebondies. Il revient rapidement, un verre à la main, le sourire aux lèvres et m’invite à m’installer sur un des transats. On discute un peu de nos vies respectives. Je sens son regard glissant le long de mes jambes étendues. Je lève un genou volontairement, faisant ainsi remonter un peu plus ma robe. Il se lève de nouveau, s’absente dans la maison. Je l’attends, profitant du soleil et du temps présent. Je fais glisser mon verre frais contre mon cou, descendant vers ma poitrine. Le contraste entre la température extérieure et la fraîcheur du verre fait réagir mes tétons, qui se tendent instantanément sous ma robe, sans autre protection que celle-ci. Je l’entends revenir, il agite quelque chose sous mes yeux... « Alors ma belle, tu as oublié quelque chose hier n’est-ce pas ? » me dit-il avec un air malicieux.

Je reconnais le tissu noir qu’il tient...

Mes sous-vêtements qu’il m’a dérobés dans mon bureau ... (voir chapitre 2). Et c’est bien la raison de ma ...