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Des vacances et des épreuves (10)
Datte: 06/09/2018, Catégories: Gay Auteur: pascaline46, Source: Xstory
Ceci est la fin des aventures de Pascaline... Je sentais David me soigner de mes blessures, des souillures infligées en prenant soin de moi comme un homme de sa femme, avec délicatesse et attention. Mon esprit vagabondait encore dans une brume épaisse mais je pouvais tout de même sentir, respirer et entendre la voix de mon Mâle m’encourager et me féliciter de mon courage et de ma dévotion durant cette nuit d’enfer. Il me déposa sur son grand lit avec tendresse et amour, m’embrassa sur le front et me recouvrit d’un délicieux drap de satin. Je m’endormis sur le champ alors que des rêves de phallus venaient déjà toquer à la porte de mon âme. Quand je me réveillai, une drôle de sensation au bas de mon ventre se fit jour. Je repoussai le drap soyeux et découvris avec stupeur que ma virilité avait été mise en cage de chasteté ! C’était une cage en métal étincelant où un anneau très étroit ceignait mon service trois-pièces alors que la cage emprisonnait fermement ma petite chose circoncise, le tout surmonté d’un cadenas bien visible. Je touchai ce nouvel « engin », surprise et humiliée, me rendant compte que je n’avais plus la possibilité de bander comme un vrai homme. Je me dirigeai maladroitement aux toilettes, fis mes besoins assise, sentant mon urine se jeter au travers des barreaux de ma nouvelle prison sexuelle. Ma chatte de lopette criait aux supplices quand il fallut contracter mes sphincters, mes tétons étaient hyper sensibles et ma nouillette encagée se réveilla ...
... sans pouvoir s’émanciper, venant buter sur l’acier de la chasteté. Le poids de celle-ci tirait mes testicules et ma verge me forçant à adopter une démarche contorsionnée et visiblement efféminée. J’enfilai une petite culotte afin d’oublier cette odieuse situation pour aller à la cuisine me faire un petit repas quand on sonna à la porte. Je me couvris d’un kimono en satin bleu pour aller ouvrir. C’était David, tout sourire, un bouquet de fleurs à la main : « Bonjour chérie ! Je suis fier de toi tu sais ! « . Il me tendit le bouquet que j’acceptai et entra. A peine la porte refermée qu’il écarta le pan de mon kimono afin de dévoiler ma cage : « Comment trouves-tu ta nouvelle amie ? », me demanda-t-il en soupesant de sa main le reste de ma virilité. — Je trouve cela très humiliant. Tu veux me la faire porter longtemps ? — Désormais tu n’auras plus le droit de la quitter !!! Tu porteras cette cage avec fierté car une lopette assermentée telle que toi n’a plus le droit d’utiliser sa virilité ou de choquer quiconque en exposant son membre. — Mais je ne pourrai plus bander ? — Non Pascaline. Tu ne jouiras qu’avec ta chatte et tu verras que tu prendras encore plus de plaisir quand tu sentiras ta semence s’écouler de ta petite nouille sans même être dure. — Je... Suis-je devenue la lopette que tu attendais, David ? — Oui chérie et on va dès maintenant graver cela dans ta peau ! Il me pria de m’asseoir sur le sofa et d’écarter les jambes afin que mon pubis soit ...