1. Dix-neuf ans et bisexuel (6)


    Datte: 13/04/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Kama666, Source: Xstory

    ... fiste-la doucement.
    
    Je regarde le postérieur avec les deux poignets pas très épais qui s’y enfoncent, je les vois, le sien immobile, le mien allant et venant sur trois, quatre centimètres. Dans le vagin je suis avalé comme par une ventouse. Je sens Magda épouser parfaitement l’arrondi de ma main. Cette situation hors du commun, jamais connue, me paralyse un peu, Magda me réveille d’un bisou sur la joue :
    
    — Ça va ? Regarde comme cette grosse vache aime, comme son bassin nous accompagne, bourre- là bien avant que je ne passe à la manœuvre... Regarde comme ses mamelles bougent... Pelote-la cette salope !... Elle s’est ouverte, maintenant tu peux y aller avec le poing !
    
    — Ouais !... Défoncez-moi, ouais les seins aussi massez fort.... Hummmm ! Les tétons... tirez sur les pis comme pour me traire.
    
    Je suis les conseils de l’une et les demandes de l’autre. Les deux gros seins pendent et se ballottent, au bout les tétons gros et longs comme des pis de chèvres sont hyper-excitants. Je masse la mamelle bien épaisse, bien lourde, triture le pis bien dur, alors que le poing fermé je besogne le vagin et tape dans l’utérus comme dans un punching-ball.
    
    Je sens de l’autre côté de la paroi la paume de la main de Magda. Alors que Joyce me semble complètement partie et ne cesse de râler, l’autre femelle est bien présente et tout en s’emparant de ma verge qui a retrouvée toute sa virilité me demande de lui laisser le relais du poing dans l’anus. Ma main est à peine plaquée sur la ...
    ... paroi vaginale que je sens le poing pistonner le rectum au même rythme qu’elle me branle.
    
    La salope a un sacré coup de main si elle continue comme ça elle va me faire juter sur le lit. Je décide de devenir maître du jeu. Je sors la main du vagin, cesse de peloter la mamelle d’où un grognement de la « grosse vache » et la bite raide comme la justice je me pointe dans le postérieur de Magda qui a compris l’opération et m’offre son intimité... Le cul ou la chatte mon choix est vite fait devant le sexe béant je me plante dans le petit trou, pas si petit que ça, ou plus exactement très souple, de sorte que d’une poussée je glisse jusqu’à la rencontre de ses fesses. Pas besoin de temps d’adaptation, fourreau et verge sont en adéquation.
    
    Elle quitte le cul de Joyce, se met bien en levrette, bras et tête posés sur le lit comme une sphinge, tend les fesses à la pénétration. Je commence à la travailler tout en m’arrimant à sa poitrine. Deux beaux seins matures bien fermes qui remplissent largement la main. Que ces masses graisseuses bien épaisses, bien fermes sont agréables à caresser. Je les fais aller de haut en bas de droite à gauche. Quelle femme superbe, ses deux fesses un peu larges, une belle pouliche.
    
    Joyce abandonnée reprend de l’ouvrage. La salope tout d’abord me masse les couilles alors que je vais et viens dans le cul de sa copine, puis glisse vers le vagin car je ne sens plus que la paume de la main sur mes bijoux... Punaise les deux femelle se complètent et voilà ...