1. Serveur d'un soir (7)


    Datte: 12/04/2023, Catégories: Hétéro Auteur: Maximalia, Source: Xstory

    ... du pied. Nue, j’en profitais pour me caresser les lèvres inférieures avec l’un de ses pieds que j’avais redescendus en opposition. D’un œil, Simon suivait tout cela, songeur. Je voyais sa bite faire des soubresauts par intermittence sous le tissu.
    
    Il était gêné et émettait un étrange mélange de gloussements teintés de gémissements de plaisir. Hamza tentait de revenir au score, mais je voyais clairement qu’il mouillait son caleçon, en bordure de sa cuisse gauche. Sa bite était tellement longue que le gland soulevait la membrane du froc pour se coller à son extrême limite. Une tâche humide de trois bons centimètres de diamètre s’étendait. Je crois que la situation le desservait finalement, car il n’avait qu’une envie : être à ma place. Au final, le vrai martyr, c’était lui. Mais j’honorerai ma promesse faite dans la salle de bain. Hamza ne sera pas laissé pour compte. Ô que non !
    
    Je me remettais au travail, remontant alors les jambes de Simon, massant ses mollets, puis tripotant ses cuisses jusqu’à arriver à la couture de son boxer. Quel corps ferme et musculeux. Un délice. Je remontais au maximum le vêtement et intercalait quelques doigts avisés vers son périnée sommairement duveteux. Je voyais clairement sa gêne et la réaction érogène, réflexe immédiat de son coccyx qui se dérobait au plaisir, laissant dix bons centimètres sous son assise :
    
    — Hey ! On avait dit que le calbar, c’était chasse gardée de la deuxième mi-temps ! Et bim !
    
    2-0, 29’.
    
    Le salaud... il ...
    ... n’allait pas jouer l’imperturbable très longtemps. Je me calai parfaitement entre ses deux jambes reposées au sol. J’écartais fermement ses deux cuisses vigoureuses et de ce boxer aux allures de slip raccourci à son plus petit apparat, je disposai mes mains douces et délicates de part et d’autre de son paquet éclatant. Avec une finesse et une friandise absolues, je touchais à peine, presque chatouillais son membre qui ne cessait de sautiller à chacun de mes effleurements. Une de mes mains en profitait pour visiter plus haut ses abdos d’exception, son torse gymnique, ses tétons en émoi. Je regardais sa chose se mouvoir à chacun de mes frôlements quand je finis par poser ma bouche sur son gland, toujours couvert de quelques microns millimètres de polyester. C’était chaud. Moite. J’envoyai un premier coup de langue quand Simon se dégagea, instinctivement :
    
    — Putain, et 3 !
    
    42e minute de leur première période.
    
    Je pense sincèrement que le ‘Putain’ s’adressait à moi et ma lampée inopinée. Je crois que j’approchais du but... La surprise passée, Simon retrouva sa position précédente. Je me remettais à mon ouvrage. Caresses incessantes, chatteries, frôlements continus de ses attributs. Et gobage du chibre habillé. J’humidifiai le tout et lui aussi de façon sous-jacente. L’imprégnation était bi-latérale, et après plusieurs secondes, je constatai que le boxer était tendu comme jamais, son piquet dessous étant d’une vigueur hallucinante. Simon luttait pour ne pas lui-même lâcher la ...
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