1. Les deux soeurs (3)


    Datte: 06/09/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Micky, Source: Hds

    ... le pont, Sandrine suçait Eddy tout en se faisant lécher par Johan. Ses deux amies allaient débouler incessamment en plein rapport sexuel et se transformer en voyeuses obligatoires... si ce n'est davantage. Car il était évident que les deux mâles n'allaient pas se contenter d'une seule femme quand deux autres entièrement à poil évoluaient dans leurs parages.
    
    De fait, quand Corinne fut remontée sur le pont, elle fut aussitôt attrapée par le Belge qui interrompit son léchage pour l'enlacer et lui rouler une pelle, la bite dressée, au contact direct avec la cuisse de la grande blonde. Celle-ci défaillit. Ce corps nu, mouillé et terriblement viril collé contre le sien tout aussi nu déclencha dans son cerveau un phénomène qu'elle ne connaissait que trop bien : l'envie d'être baisée. L'autre, loin de se douter que cette superbe femme pulpeuse mais sans excès venait de fêter son cinquantième anniversaire, parcourait son corps de ses mains puissantes. En particulier ses fesses dont il avait tout de suite apprécié les courbes parfaites le premier soir où il l'avait vue. Il bandait comme un cheval et sentit la main de Corinne l'empoigner. Celle-ci fut aussitôt stupéfaite : ce qu'elle avait en main était aussi dur et volumineux qu'un manche de pioche. Une quintessence de la bite, faite pour entrer dans le corps d'une femme. Instinctivement, elle commença à la branler, debout, coincée contre la cabine du bateau. Ces mains d'homme qui parcouraient son corps, ses fesses, ses seins, son ...
    ... ventre et maintenant son sexe, la rendaient positivement folle. A quelques mètres à peine, Sandrine se faisait écarteler par le Canadien, pliée en portefeuille, les chevilles contre les oreilles de son amant et le spectacle fugitif des deux grosses couilles battant les fesses relevées de son amie dont les cris se mêlaient à ceux des mouettes tournicotant autour du bateau décida Corinne :
    
    - Baise-moi, là, maintenant.
    
    Alors, le Belge releva la blonde et la posa avec précaution sur le toit de la cabine. Saisissant ses chevilles et les écartant, il considéra brièvement la vulve palpitante et y déposa délicatement son gland gros comme une pêche de vigne, juste à l'entrée.
    
    - S'il te plait, viens, implora Corinne.
    
    - Viens la chercher, répondit l'homme en lui lâchant les chevilles.
    
    Alors, Corinne lui enferma les reins de ses longues jambes et, forte de cet appui, rua à sa rencontre en produisant un bruit rauque. Totalement engagé dans ce tréfonds juteux, l'homme se mit à la labourer de toute sa puissance et de tout son volume, déclenchant chez la blonde aux cheveux soudain libérés du chignon une série de stridentes onomatopées qui convainquirent le mâle d'être tombé sur un coup en or massif. Une baiseuse passionnée, comme il les aimait. Rien à voir avec les minettes inertes et aphones qui draguaient le plaisancier autour du port.
    
    Penché en avant, les mains sur le toit de la cabine, il la mitraillait de coups de bite, les yeux dans les siens, encouragé par la lueur de ...
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