J'aime le voir... (2)
Datte: 12/04/2023,
Catégories:
Hétéro
Auteur: caribonex, Source: Xstory
J’aime le voir jouir.
Après avoir plus ou moins conduit mon mec à se caresser, ou plutôt disons-le clairement à se masturber devant moi dans la salle de bains, j’avais passé encore un bon moment à me questionner.
Puis il était revenu me chercher, m’avait séchée, s’était occupé de moi comme si j’étais une vraie princesse avant que plus tard, nous ne fassions l’amour de façon plus classique disons. J’en avais donc déduit que tout cela lui avait bien plu et j’avais laissé tomber ma retenue et libéré mon imagination...
Quelques jours plus tard, un événement m’avait justement fourni matière à de nouveaux fantasmes. Nous devions sortir pour nous rendre à une réception dans le cadre de son boulot et j’avais surpris son regard sur mes dim-up quand je les ai enfilés et lissés. Un regard brûlant qui me faisait chaud au cœur, surtout que j’avais noté l’érection qui formait une jolie bosse dans son pantalon.
Je n’ai rien dit sur le coup (et de toute façon, nous n’avions pas le temps), mais le reste de la soirée, un coin de mon esprit était consacré à développer mon idée et ma stratégie...
Quelques jours plus tard, le samedi matin, j’ai indiqué que je devais voir une amie dont je sais qu’il ne la supporte pas tellement même s’il ne m’a jamais vraiment expliqué pourquoi. Je me suis donc préparée devant lui, comme si j’étais pressée. Il était allongé sur le canapé avec, comme bon nombre d’hommes, cette manie d’avoir une main glissée sous son pantalon de jogging. (si si ...
... observez-le les filles !) Donc, j’étais en chemisier dont j’avais fermé les derniers boutons devant lui et assise devant lui, je pris tout mon temps pour mettre et remonter doucement mes bas autofixants, son regard était à nouveau fixé sur mes longues jambes et les liserés de ces doux accessoires. Il ne remarquait même pas que d’un coup, je n’étais plus dans l’urgence.
Au moment où je finissais de positionner l’élastique souple du second bas, je stoppais d’un coup pour l’apostropher d’une voix un peu chargée de tension.
— Mais tu fais quoi là ?
— Mais rien, je te regardais te préparer.
— La main dans le slip, tu trouves cela normal ?
— Mais je ne faisais rien.
— Alors pourquoi ton pantalon fait une bosse et que tu te trémousses exprès devant moi pour me le faire remarquer.
— Mais non, c’est toi qui.
— Comment ça, c’est moi qui ? Je m’habillais tranquillement, maintenant je dois me cacher peut-être parce que mon mec est un vulgaire mateur !!
— Mais je peux que regarder tu es si jolie.
— C’est flatteur, mais je comprends ton manège ; tu veux me faire oublier tes perversions en m’abreuvant de compliments, je suis sûre que dès que j’étais partie, tu allais de nouveau te tripoter, décidément tu es incorrigible.
— Mais.
— Pas de mais, maintenant je suis coincée, je peux pas partir en te laissant comme ça, tu vas encore
faire des cochonneries quand je suis pas là,
— Mais je te promets que non !
Il est si agréable à contempler quand il essaye ...