Dérapage à l'hopital (1)
Datte: 11/04/2023,
Catégories:
Lesbienne
Auteur: loufite55, Source: Xstory
... secondes. Mon corps me lance des piques d’excitation extrêmement étranges, n’ayant jamais ressenti cela avec un homme, mes jambes tremblent comme si j’étais en équilibre sur moi-même.
Elle se retire délicatement et recule d’un pas.
— Merci beaucoup, Pauline, de m’avoir aidée.
Je la fixais du regard, mon cerveau en extase de ce magnifique baiser.
— Pauline ?
— Ah ? Oui, de rien Lucie, je... je vais y aller.
— À demain Pauline.
Je me retourne, sors de la chambre, mon cœur bat de façon très forte à tel point que je sens chaque pulsation de celui-ci. Je me dirige au vestiaire tel un robot fixant son point d’arrivée, me change et rentre chez moi.
Le reste de la semaine, je n’osais pas retourner voir Lucie, laissant mes collègues prendre ma place. Trop terrifiée à l’idée de ce qu’il s’était passé, ne me reconnaissant pas dans ce moment gênant.
..........
Une nouvelle semaine commence pour moi, la dernière pour Lucie. Je suis, cette fois-ci, en horaires de nuit. J’aime parfois avoir ce créneau, l’activité est souvent beaucoup plus calme et j’ai le temps de discuter avec les patients qui en ont besoin.
Cette nuit de lundi, je fais mes différentes tâches et navigue dans les couloirs de mon service. Je passe devant la porte de Lucie, reste figée cinq secondes, attirée par l’envie de la revoir. Je la vois d’un coup s’ouvrir, me faisant sursauter, et je pars en marchant rapidement vers les autres chambres. M’a-t-elle vue ? A-t-elle besoin de quelques ...
... choses ? J’étais trop peureuse pour oser me retourner. Je continue mes occupations nocturnes en évitant au maximum de passer de nouveau devant la chambre de Lucie.
Le lendemain suivant, je recommence mes différentes tâches et passant devant la porte de Lucie, je m’aperçois qu’elle est légèrement ouverte. Sûrement un oubli d’une dernière visite. Je m’approche de celle-ci pour la fermer, mes jambes flageolent un peu, mais je continue ma lancée. Je commence à toucher la poignée et j’entends du bruit à l’intérieur.
J’écoute attentivement... j’ai l’impression que... elle gémit ?
Ma conscience professionnelle m’oblige à en savoir plus, je ne peux pas laisser Lucie... enfin... une patiente dans la détresse. J’ouvre un tout petit peu plus la porte pour voir ce qu’il s’y passe, et j’aperçois dans un filet de lumière Lucie, sa culotte baissée aux genoux, le t-shirt relevé laissant apparaître ses jolis seins, une main à son entrejambe et l’autre agrippant son sein gauche.
J’écarquille les yeux avec une grande inspiration nerveuse, je prends peur que Lucie s’aperçoive de ma présence... Mais je vois rapidement qu’elle porte des écouteurs et que ses yeux sont fermés, sa tête dirigée vers le ciel.
Ouf... elle ne m’a pas vue. Après tout, elle a bien raison de se faire plaisir, il n’y a aucun mal à ça.
Je commence à vouloir fermer la porte, mais mon corps s’y refuse, le regard complètement figé et attiré par ce qu’il se passe dans cette chambre.
La porte de Lucie se situant ...