1. Cette punition qui a changé ma vie (7)


    Datte: 08/04/2023, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Porphyrion, Source: Xstory

    ... bite à fond, j’étouffe à moitié mais je suis récompensée par les grognements que pousse mon dominant. Je le sens proche de l’explosion, pour accélérer son plaisir, je trempe un de mes doigts dans la sueur qui dégouline dans sa raie et l’enfonce d’un coup dans son cul.
    
    J’entends deux cris, celui de mon amie qui jouit sans discrétion devant le spectacle offert et celui de l’homme qui lâche un flux ininterrompu de sa semence dans ma gorge, je sens son plaisir jusque dans sa rondelle qui tressaille longuement autour de mon doigt. J’ai du mal à tout avaler mais je ne veux pas en perdre une goutte, je goûte à fond le plaisir d’être devenue une outre à foutre.
    
    Il reprend à peine son souffle, me retourne face au mur et m’installe à quatre patte sur les wc, il m’arrache d’un coup le bas de mon maillot et en porte l’entrejambe trempé à son visage, il respire profondément l’odeur de mes sécrétions, et lèche avec avidité la grosse tache humide qui s’étale au fond.
    
    Cela suffit à le refaire bander. Il jette le maillot derrière lui, Isha s’en empare et le glisse à l’intérieur de son propre maillot où ses mains le plaquent contre sa grotte trempée.
    
    Pendant ce temps, je sens son énorme engin se présenter à l’entrée de mon sexe béant d’impatience, ses mains encore grasses des frites qu’il a avalées s’agrippent fortement à mes hanches et d’un coup unique il s’enfonce jusqu’aux couilles.
    
    J’ai beau être dilatée par l’envie, la taille de son pieu m’arrache un cri de douleur. Il ...
    ... ressort avec un grognement de mépris sur les bourgeoises frigides, laissant en moi une impression de vide atroce. Je le supplie :
    
    - Reviens, déchire moi, vas-y à fond
    
    Il revient, plus doucement, mes chairs s’écartent lentement sous la pression du gland si dur. Une fois bien installé avec son sexe qui me remplit complètement, il se penche vers moi, son gros ventre me pousse en avant, le visage contre le mur. Le haut de mon maillot ne résiste pas, mes deux mamelles de salope en chaleur tombent lourdement, secouées en rythme par sa queue qui me transperce.
    
    L’odeur de graillon des frites me parvient lorsque ses mains arrivent sur mes seins, elles les soupèsent comme s’il s’agissait d’une marchandise, puis les triture avec force. D’habitude je demande à Raphaël de les caresser avec légèreté, mais là je veux qu’il les martyrise. Je l’encourage avec des feulements bestiaux. Il les tire en arrière, à pleine main, pour me bloquer pendant qu’il me pilonne.
    
    A chaque poussée je sens son dard qui cogne au fond de ma chatte, de mes mains appuyées sur le mur des toilettes je pousse mon corps en arrière pour augmenter la violence des chocs. Rapidement ses mouvements deviennent désordonnés, je l’entends qui m’insulte, je ne comprends pas tout, à l’anglais se mêlent des mots d’hindi, mais le sens général est clair, je suis sa pute et il va me faire monter par ses chiens.
    
    L’image d’un chien me grimpant sur le dos, me serrant de ses pattes avant, amène avec elle mes derniers remparts, ...