1. Le projet Sparte


    Datte: 06/09/2018, Catégories: fhh, hplusag, forêt, fsoumise, hdomine, contrainte, Oral pénétratio, fsoumisah, Auteur: Hétaïre, Source: Revebebe

    ... en chaleur, cette truie. C’est vrai que vu son dossier elle en avait envie. Vas-y, fais-lui goûter son jus.
    
    Léo présenta ses mains.
    
    — Lèche, hilote, ordonna-t-il. Lèche ton jus.
    
    J’ouvris la bouche, il engouffra un doigt, puis deux. Je léchais sans savoir, sans penser… Il retira sa main, ouvrit son pantalon et sortit son sexe. Cette bite était dure et raide. Alain me redressa, il me tenait le cou et les bras. Léo me regardait à travers son masque. J’étais à genoux et il me tenait la tête. Il me prit la bouche, il n’y a pas d’autres mots. Je ne respirais plus, je haletais.
    
    Alain me libéra de son étreinte et me poussa pour que je reprenne ma position. Je n’eus pas le temps de me retourner avant sentir la prise ferme de Léo sur mes fesses. Oui, il venait de me prendre sans capote. Il était parvenu à me pénétrer d’un seul coup sans difficulté. J’essayais d’avancer mais sa prise était forte. Il tenait fermement mes hanches trempées de sueur. Ses coups de butoir étaient masculins, un taureau.
    
    Huumm, Wouuw, Muuuuhhm, la pièce ne résonnait plus que de ces bruits.
    
    Il me pilonna avec vigueur, me faisant jouir et atteindre l’orgasme. Extase non contrôlée. Je sentais ses violents coups de ...
    ... butoir contre mes fesses. Je m’abandonnais, je jouissais. Il râlait, arrrh, arrhh. Il me baisait, il me bourrait.
    
    Il gicla. Il était là, suant, en train de se vider en moi.
    
    Il se retira. J’étais là, à quatre pattes. Suante. Alain debout face à moi toujours bien habillé. Et l’homme à la cagoule me tendit la main pour que je me relève. Je tremblais, mes jambes me tenaient à peine.
    
    — Tu es belle, me dit ce mâle masqué, souriant.
    
    Il m’embrassa, écartant de mes yeux mes cheveux collés par la sueur et quitta la pièce. Alain reprit les choses en main. Il me tendit une serviette. Il s’agitait autour de moi. Et moi je restais là, dans un autre monde. Il m’aida à m’habiller. Je l’entendis me dire :
    
    — Aline, je vois que tu as aimé. Tu n’auras donc pas de crainte à revenir chez nous. Tu as aimé ? Aline, Aline, tu ne me réponds pas ?
    — Quoi ?
    — Tu as aimé ?
    — Oui.
    — Allez, viens, c’est fini, il va falloir rentrer chez toi.
    
    J’ai retrouvé ma voiture. J’ai roulé. Je suis rentrée chez moi, épuisée. Je me suis jetée sous la douche avant de m’affaler sur mon lit. Qu’avais-je fait ? Vraiment, pourquoi n’avais-je rien dit ? Était-ce cela, le plaisir ? Je ne sais pas. Oui, j’avais ressenti des choses… 
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