1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1514)


    Datte: 07/04/2023, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... corps et mes sens en éveil. J'en étais bien excitée et je ressentais au contact de la cire, ma chatte qui s'humidifiait dans un très grand état d'excitation. Après m'avoir répandue cette cire brûlante sur une grande partie de mon corps de femelle, cire allant de mes seins jusqu’à mes cuisses, le Maître se saisit d'une cravache puis décida d'enlever les morceaux de cire sur tout mon corps avec des coups précis et efficaces. Souhaitant par dessus tout faire honneur à l'Education de Monsieur le Marquis d'Evans, je restais immobile et silencieuse… Une fois terminé, il s'avança vers la Croix de Saint-André où étaient attachées les deux soumises asiatiques, l'air passablement agacé et leur dit d'un ton froid :
    
    - Vous commencez déjà mal par une première désobéissance à Mon égard et je ne tolèrerais pas celle-ci. Je vous avais donné l’ordre de bien regarder. C'est pourtant simple et vous n'avez pas réussi à le respecter car vous avez baissé la tête mainte fois durant Ma démonstration. Vous allez donc être punie et ne vous attendez pas à une punition indulgente car vous serez traitées avec le même niveau d'Exigence que mes soumises. Ce qui vous apprendra, j'en suis sûr, l'obéissance la docilité et le respect des règles ainsi que le bon comportement que doit adopter une soumise digne de ce nom. Je vais donc vous faire détacher car cette sanction ne se passera pas sur la Croix de Saint André, conclu-t-il …
    
    Monsieur le Marquis d’Evans appela Walter qui vint détacher les deux ...
    ... soumises asiatiques. Elles furent emmenées dans la crypte, dans un cachot sombre aux murs aveugles, sans fenêtre, ni soupirail. Le Majordome les attacha en les positionnant à quatre pattes sur un solide plateau-table, leur liant chevilles et poignets, le cul face au mur où se trouvait une machine bizarre. Cette dernière était constituée d’un gros caisson métallique où ressortaient à la verticale deux gros manches en bois ressemblant à de larges rames d’aviron et fixés sur deux charnières amovibles de manière à venir frapper les culs des soumises, si ces rames venaient à s’articuler. Devant les soumises, il y avait, pour chacune, une sorte de gamelle mécanique, c’est-à-dire que pour se désaltérer, les soumises asiatiques devaient obligatoirement appuyer de leur menton sur une petite plate-forme métallique fixée sur le devant de la gamelle qui en se baissant faisait couler l’équivalent d’un verre d’eau dans ladite gamelle, et cela à chaque fois que la petite plate-forme s’abaisserait. Et comme nécessairement, elles auront soif à un moment où à un autre, Walter leur dit :
    
    - Voici la punition, vous allez rester ici, attachée et positionnée comme cela le temps qu’il faudra. Forcément la soif viendra se rappeler souvent à vous. Alors vous serez obligées de boire dans la gamelle placée juste devant votre tête. Quand vous poserez votre menton sur la plate-forme pour boire, un peu d’eau s’écoulera, vous devrez reposer de nouveau votre menton pour que de l’eau recoule encore. Mais sachez ...