1. Les trois sorcières


    Datte: 07/04/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Jpj, Source: Hds

    ... trois qu’elle n’était plus dans le coup.
    
    Les deux copines parlaient entre elles par dessus moi. Et chacune racontait sa vie. Elles disaient que juillet était leur saison. Et nous étions au mois de juillet, une veine, non ?
    
    Elles disaient, la camarade boute-en-train l’a vidé, complètement vidé. Sûr qu’il n’a plus maintenant que des gamètes à propension mâles. Tous les vieux spermatos ont filé avec la première fournée.
    
    Elles m’ont dit, tu sais, nous on a une capacité particulière, celle de garder au creux de nous, deux trois ans, la giclée fécondante des garçons et d’en faire plusieurs services. Trois fois neuf mois de gestation avec la même saillie.
    
    Pas vraiment un avantage, nous on préfèrerait largement devoir baiser cent fois... pour le fun, tu comprends ?
    
    Elles étaient là toutes deux, l’une à gauche, l’autre à droite de moi et ont tourné pour se retrouver chacune sur la tranche, chacune une main sur mon organe. Huit doigts à palper mon bitos en un lent pompier bienveillant qui déchirait.
    
    Elles parlaient araignées. Elles disaient on a toute la nuit pour tisser la toile. Moi je pensais, ça a combien de pattes une araignée ? Huit, non ? Avec leur main chacune elles sont au compte. Huit. Octopus. Et je sentais leurs doigts agiles sur ma hampe sur mon gland sur le frein sur mes roupes. Les soulevant les relevant les pressant en toute amitié. Sex friend comme on dit, sympa en tous cas.
    
    Dans ma tête tournait une chanson de Moustaki
    
    La fille près de qui je ...
    ... dors,
    
    M'enroule dans ses cheveux d'or
    
    Comme une araignée dans sa toile.
    
    Moi, j'en appelle à mon étoile
    
    Qui me fera trouver le nord...
    
    Je pensais, moi j’ai là deux filles dans mon lit. Saurai-je me défaire de leur toile ? Où donc est mon étoile ?
    
    Les deux filles parlaient entre elles mais ne s’adressaient pas à moi. Mais elles parlaient de moi et cela me gênait. L’une disait, ce gars-là nous donnera-t-il ce que nous sommes venues ici-bas quérir ? Deux fois ? Une fois pour chacune de nous ?
    
    Manifestement il saura doubler bien que la grande sœur l’ait totalement vidé. Sacrée purge quand même. Merci Bézelbuthe.
    
    L’a l’air néanmoins bien solide ce gars-là. Qui passe la première de nous deux ? On va tirer à la courte pine.
    
    Elles étaient d’accord sur cette méthode pour se départager. Mais je n’avais pas compris que j’allais être l’outil, le juge de paix, le moyen d’aléa.
    
    L’idée était simple. Chacune aurait licence d’astiquer longuement ma bite et la perdante serait celle qui aurait obtenu le résultat le plus modeste en qualité de longueur de tige.
    
    Moi je bichais et pensais, elle vont être ex æquo toute la soirée et devront poursuivre longuement peut être même jusqu’à matines pour enfin se départager. J’en bandais déjà à fond.
    
    Chacune pensait, moi je vais gagner et j’aurai au fond du ventre la lourde giclée fécondante servie par ce mortel. J’en ferai facilement quelques diablotins, tête cornue et queue agile.
    
    Je crois que tous trois on savait que ...
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