Les trois sorcières
Datte: 07/04/2023,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Jpj, Source: Hds
... du moins pour la troisième, et je me suis donc abstenu. Mes roupes en ronronnaient de bonheur, tout à leur œuvre, intense.
Sortant de la douche, la serviette trempée en pagne, je suis entré dans la chambre. Les trois têtes des trois filles étaient côte à côte sur le traversin et elles souriaient.
J’ai fait un lâcher de serviette et me suis glissé entre elles après avoir éteint les lumières. Encore humide de ma douche et nu comme un ver. Je n’étais pas bandant tendu mais pas non plus recroquevillé. J’avais bon esprit de mec entre trois filles en samedi soir de printemps.
Le très grand lit se révèlait somme toute étroit. Je pensais, la vendeuse d’Ikéa m’a faribolé m’a sornetté qui me disait, vous pourrez y mener trois copines sans gène aucune et les sauter en tout confort. King size, 1m80, c’est exactement ce qu’il faut à un beau gars comme vous, aux ambitions solides avec fortes prétentions à niquage.
Les deux brunes sur le côté étaient déjà entre parenthèses.
L’une me présentait ses fesses. Belles fesses bien gonflées chaudes avec craque profonde humide de la douche et pilosité crépue douce sous les charnus de mes doigts.
L’autre était inaccessible. Je pensais, elle ne perd néanmoins rien pour attendre.
Mais j’étais dans les bras de la grande qui faisait cuiller autour de moi. Son pubis velu à mes fesses, ses bras qui m’enserraient, sa bouche dans mon cou en multiples petits bisoux.
Moi, je pensais, baiser une fille en habit dans un lit, c’est comme ...
... manger une orange avec la peau. Ce teeshirt Porsche, si elle le garde, elle n’aura pas ce qu’elle attend depuis belle lurette, à savoir un bon coup de bite d’homme dans le ventre.
Je n’ai rien dit mais me suis retourné pour la prendre dans mes bras et la serrer fort contre moi. Le teeshirt bavarois était remonté sous ses aisselles. Elle a levé les bras et a dit, va ôte le on sera mieux. J’ai pensé, Porsche finalement, une fois encore, n’aura pas fait long feu. Abandon au premier virage, direct le bac à sable.
On était donc, la grande parpaillote et moi d’un côté embrassés et les deux brunettes emmêlées de l’autre.
Dehors l’orage continuait de tonner et la pluie tombait en grandes cataractes.
La grande m’a dit, heureusement que tu nous as hébergées, imagine qu’on soit encore dehors toutes trois là avec nos balais dans la tourmente.
Moi je pensais, c’est quoi ces balais dont elle me cause. J’ai dû mal entendre.
Elle a ajouté à mon trouble en disant, sous la pluie les turbopropulseurs cafouillent.
La fille avait pris ma bite en main et pompait avec douceur.
Moi, en réciprocité, je triturais ardemment ses beaux nibars denses et élastiques.
Manifestement on était en concordance et sa main a mené mon organe à son papillon tout palpitant mouillé visqueux de désirade.
On était face à face, elle cuisses hautes jambes pliées et moi le nez dans son cou à respirer ses fragrances. Ses mains à mes fesses tiraient à elle, ongles crochés. Mon long bitos appuyait ...