1. Ma collègue de bureau… et son neveu (9)


    Datte: 07/04/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: K-ro, Source: Xstory

    ... jette un œil pour vérifier qu’il est maintenant en grande érection, non visible par Martine dans cette position, et je lui suggère :
    
    — Tu serais certainement mieux placé pour mes jambes si tu te mettais carrément derrière, à cheval au-dessus de mes chevilles.
    
    Je sens qu’il hésite à se mettre comme ça, ce qui le placerait de profil par rapport à sa tante. Mais finalement il doit trouver ça amusant de se montrer à elle dans cet état, car il le fait et j’ai confirmation de mes suppositions, car elle laisse échapper un petit “Oh” de réprobation que je perçois, bien qu’elle l’ait presque murmuré. Je sens les mains remonter sur mes jambes puis mes cuisses que j’écarte ostensiblement de plus en plus, lui dévoilant progressivement ma fente que je sens déjà humide. Enfin, il arrive à mes fesses et ne se prive pas de bien les malaxer, rassuré sur le fait que je ne vais pas me plaindre. Je sens même un doigt commencer à s’aventurer autour de mon entrée arrière. C’est à ce moment que Ber revient. Il ne se prive pas pour exprimer ce que Martine n’osait pas dire :
    
    — Ouah, Guillaume, tu m’as l’air en pleine forme !
    
    — Euh, pardon, je...
    
    — Mais non, c’est normal, moi aussi je banderais à ta place en tripotant ses fesses.
    
    Et il finit sa trajectoire en posant le plateau supportant les verres et les bouteilles sur le sol devant les transats. Il fait comme si de rien n’était et propose à chacun de choisir sa boisson. Martine se dépêche de demander un grand jus d’orange pour ne ...
    ... pas trop montrer son trouble. Son neveu semble décider que sa séance est finie, car il profite de la diversion pour retourner s’assoir, disant qu’il prend la même chose. Je préfère une boisson gazeuse et Ber en sert une autre pour lui avant de s’assoir lui aussi dans son transat. Pour boire plus aisément, je me redresse et me mets en tailleur face à eux. Un silence s’impose un petit moment, puis comme Guillaume est affalé sur son siège avec sa bite toujours tendue, mais toujours pas décapuchonnée qui repose sur son ventre, sa tante lance enfin :
    
    — Dis donc, tu pourrais au moins mettre quelque chose dessus pour ne pas nous gêner.
    
    C’est moi qui réponds en premier, relayée par Ber :
    
    — Oh, ça va, on n’est pas choqués. Après tout, c’est naturel de bander à cet âge.
    
    — Oui, ne dramatise pas, Martine, sinon tu vas le culpabiliser. C’est pas de sa faute.
    
    — Ecoute, n’y pense plus et ça va te passer. Tu es chez nous, on te donne l’autorisation.
    
    — Exactement ! Et si ça peut te rassurer, je vais te tenir compagnie.
    
    Effectivement, Ber se laisse un peu aller à penser à des choses certainement aussi excitantes que moi, car une érection se développe doucement, mais sûrement sur son bas-ventre. Et rampe un peu avant de s’élever franchement. Lui par contre complète l’opération en décalottant son gland et ma collègue se retrouve entre deux belles bites dressées en se rendant compte qu’elle n’aura pas son mot à dire si tout le monde se ligue contre elle. Donc elle se résigne ...