1. Tombés du ciel (17)


    Datte: 07/04/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Yojik, Source: Xstory

    ... éjacula abondamment dans son cul puis par Bérénice qui explosa dans un long râle murmuré. Ils se retrouvèrent tous les trois, en sueur et haletant, à se serrer les uns contre les autres.
    
    Ils s’embrassèrent tendrement et Alicia voulut qu’ils la prennent tous deux dans leurs bras. Après quelques instants, elle leur demanda :
    
    "Vous croyez que, tant que je ne suis pas sûre de moi avec Bruno, on pourrait continuer ?"
    
    "C’est comme tu veux ma chérie, lui répondit Bérénice."
    
    "Oui, ma grande. On peut faire comme ça."
    
    "Merci. Dites, je ne veux plus vous appeler papounet et manounette."
    
    "Ah, bon, tu veux revenir à Bérénice et Roger ? s’étonna le fermier."
    
    "Non, je ne veux plus dire que papa et maman. Enfin, au moins quand on n’est pas en public."
    
    "Heu, eh bien... Chérie, tu en dis quoi ?"
    
    "Ah, oh, pour moi c’est d’accord. Et toi mon amour ?"
    
    "Moi aussi. Tu es contente ?
    
    "Super, oui, je suis contente. Donc je suis juste votre fille maintenant ?"
    
    "Oui, répondirent-ils."
    
    "Alors, je voudrais une chose encore."
    
    "Je te trouve bien exigeante, la taquina Bérénice."
    
    "Moi, je rêve d’une famille. D’un papa et d’une maman qui s’aiment. Vous vous aimez n’est-ce pas ?"
    
    "Oui, on s’aime bien avec Roger."
    
    "Non, non, vous êtes dans le déni tous les deux. Vous vous aimez. Vous vous aimez comme il y a vingt-cinq ans."
    
    "Alicia, ma fille, tu t’emballes, tenta de la calmer Roger."
    
    "Non, vous vous dites des "mon amour", "ma chérie", des "je t’aime". ...
    ... C’est fait avec une telle sincérité..."
    
    "Peut-être, dit pensivement Bérénice."
    
    "Béré, je crois qu’elle a raison. Je t’aime. Tu es ma femme."
    
    "Oh, Roger... Je t’aime aussi. Tu es mon homme."
    
    "Oooh, je suis si heureuse. Je vous aime tous les deux. Vous allez vivre votre amour au grand jour maintenant ?"
    
    "Euh, non..."
    
    "Pourquoi, papa ?"
    
    "En effet... Pourquoi pas... Alors, chérie, tu en dis quoi ?"
    
    "J’en dis que je suis immensément heureuse. Embrasse-moi."
    
    Roger et Bérénice s’embrassèrent au-dessus d’Alicia qui en pleura de joie. Ils étaient si proche d’elles que le baiser se termina à trois. Ils s’arrêtèrent et se blottirent les uns contre les autres. Ils se rendormirent comme cela jusqu’au lever du jour. Les deux jours restant avant la fin des vacances, ils les passèrent à vivre sans restriction et sans limite. D’abord comme une famille dont la fille venait passer quelques jours chez ses parents avec ses enfants. Et ensuite comme des amants enfiévrés et débridés pendant la nuit.
    
    Le jour du départ, Hala et Salil étaient très déçus de partir. Mais ils étaient très contents de repartir avec plein de jouets. Néanmoins, il fallut se rendre à l’évidence, ils n’allaient pas pouvoir tout faire rentrer dans la petite bagnole de leur mère.
    
    "Bah, ce n’est pas grave, on a qu’à laisser des valises, proposa Salil."
    
    "Ha, ha, ha, non, mon grand. Je repars avec tout."
    
    "Mais maman, puisqu’on revient aux prochaines vacances..., rappela Hala."
    
    "D’accord, mais ...
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