Tombés du ciel (17)
Datte: 07/04/2023,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Yojik, Source: Xstory
... Bérénice. Derrière elle, elle avait senti les tensions et les crispations de Roger. Il avait reniflé plusieurs fois; pour retenir des larmes ? Et il la serrait contre lui avec une infini tendresse. Son émotion affective était palpable tout comme celle plus sexuelle contre son cul, la queue de Roger bandant assez fort.
"Eh, bien. C’est formidable, ma fille."
"Oui, ta mère a raison. Je suis content pour toi."
"Merci, je vous aime. Je l’aime, pourtant..."
"Pourtant quoi ?"
"Maman, je suis triste. Si je sors avec lui, je ne pourrais plus... Avec vous."
"Oh, mon cœur. C’est ton bonheur que je souhaite. Ne t’en fais pas pour ça."
"Oui, Alicia. C’est tout ce qui compte."
"Papa, maman, on s’était dit qu’on avait besoin d’être amants autant que parents et fille."
"Oui, mais si tu veux arrêter, je comprends. Ton père aussi, je suis sûre."
"Oui Alicia."
"Mais je ne veux pas arrêter ! Ça me rend triste. Alors que je devrais être heureuse."
"C’est que tu as peur de l’inconnu. Tu viens de trouver un certain bonheur avec nous."
"Je t’aime ma fille. Depuis le jour où je t’ai trouvé sur le chemin."
"Mais je ne peux vous quitter. Papa, maman, je ne suis pas encore avec lui. Nous n’allons nous revoir qu’aux prochaines vacances. En attendant, je veux encore ça... Et ça."
Alicia venait de prendre en main la queue de Roger et de glisser l’autre entre les cuisses de Bérénice. Elle les masturba immédiatement ne leur laissant pas le temps de répondre. ...
... Roger et Bérénice, qui avaient été pas mal émoustillés par la nuit d’Alicia avec Bruno, succombèrent aux doigts de la jeune femme. Leurs mains allèrent d’elles-mêmes sur son corps musclé et la caressèrent délicieusement.
"Je viens de comprendre pourquoi j’ai vu vos ombres, j’ai encore besoin de vous, de votre amour affectif ET physique. Vous êtes chauds déjà, vous aussi vous allez avoir du mal à vous passer de moi."
"Oh, ma petite salope que j’aime, râla Roger."
"Ma petite pute d’amour, oui. Nous t’aimons aussi pour ça. Ah, oui, branle-moi fort. Mets tes doigts dans ma fente trempée. Je t’envie petite chienne d’avoir eu la queue de Bruno en toi. Et plusieurs fois encore."
"Ah, Roger serre mes seins plus fort, malaxe-les, Bérénice met tes doigts en moi aussi. Fourre-moi comme une truie, vieille pute."
"Ma petite chienne, tu es vraiment une salope de première. Bruno a dû bien aimer te bourrer de coups de bite. Il t’a bien parlée ?"
"Comme à une trainée. Ce salaud est aussi cochon que toi. Ah, oui ! Caresse mon petit trou..."
Roger avait glissé une main entre elle et lui. Il rencontra les doigts de Bérénice sur la chatte d’Alicia et y récupéra de la cyprine. Il s’en enduit les doigts et partit explorer l’autre trou de la jeune femme. Celui-ci réagit en se contractant et en frémissant. Alicia fouilla plus fortement l’antre de Bérénice qui se démenait aussi dans celle de la danseuse. Toutes deux avaient le sexe en fusion tant leurs doigts savaient exciter leurs ...