Dressage d'une flic arrogante (3)
Datte: 06/04/2023,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Blueberry89, Source: Xstory
... aussi, ajouté-je. Tu pourrais m’apprendre quelques techniques…
— Ah ouais ? Bredouille-t-il. Euh je veux dire quand tu veux ma belle !
— Dois-je le prendre comme une proposition ? minaudé-je en battant des cils
Les collègues paraissent très intéressés par notre discussion, si bien qu’ils ont arrêtés tout ce qu’ils faisaient. Ce silence si inhabituel fait sortir le Brigadier-chef de sa caverne. Ils nous jette à tous un regard mauvais et nous invective :
-Vous vous croyez au salon de thé ? Au boulot! Gronde-t-il. Bertier, Nassam, vous avez relevé les informations sur le mec ?
— On vient de le mettre dans la cage chef, on debrieffait juste, s’excuse Lionel en bafouillant
— Et les empreintes, le pedigree du type, lance-t-il d’un ton sans appel. Je veux tout sur mon bureau dans dix minutes.
Je retourne à mon bureau, roulant bien des hanches sous le regard avide des stagiaires. Lionel hésite à me suivre mais finalement, il n’ose pas contredire le chef. Il va falloir y aller un peu plus fort ma grande ! Et choisir le moment idéal pour que cela ne passe pas inaperçu aux yeux de Sokolov.
Un peu plus tard, vers la fin de mon service, Bertrand vient me voir pour me dire que le chef me convoque dans son bureau. Il veut sans doute sa troisième pipe de la journée ! Je suis surprise qu’il n’en ait pas exigé plus aujourd’hui. Mais j’ai eut tout le temps de réfléchir à un plan et je n’attendais que ce moment pour le mettre en œuvre.
Lionel, le plus jeune stagiaire ...
... est prêt à partir lui aussi et avant qu’il ne se sauve, je lui glisse à l’oreille quelques mots qui le font frissonner. Puis, je me dirige vers le cagibi, au fond du couloir, tout proche du bureau du Brigadier-chef, suivie de près par le stagiaire. Une lumière jaunâtre innonde la petite pièce mal rangée où sont entreposés divers produits ménagers. A peine entrée, Lionel se presse contre moi, pelotant mes fesses avec maladresse. Je ne ressens rien, même pas une minuscule vague de plaisir pourtant je le laisse me triturer sans vergogne jusqu’à ce que j’entende des bruits de pas qui se rapprochent. J’empoigne alors d’une main vigoureuse le sexe aux proportions raisonnables et commence à le masturber avec une grande application.
Lionel frémit entre mes doigts et je n’ai qu’à m’agenouiller à ses pieds et lui présenter ma langue tendue pour qu’il se mette à jouir bruyamment. Le premier jet de sperme atteint mon front et recouvre mon nez et alors que le deuxième atterrit sur ma langue, la porte s’ouvre sur le brigadier-chef, surpris de nous trouver ici. Lionel ne le voit pas tout de suite mais moi si. Je croise son regard brûlant au moment où le troisième jet recouvre ma joue et la jalousie que j’y discerne déclenche en moi un puissant frisson de désir.
— Bertier ! Gavras ! Où est-ce que vous vous croyez ? hurle-t-il sans même s’approcher.
Le pauvre stagiaire devient blafard, il panique et tente de se rhabiller. Sokolov le chope par le col et l’envoie valser en dehors du ...