1. Séduction, amour et soumission (10)


    Datte: 06/04/2023, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: divinmarkiz, Source: Xstory

    ... clito de l’esclave. Une fois retiré, nous pouvions voir la chatte presque monstrueuse, écarlate et un clito énorme, gonflé qui pointait. Un léger murmure, très contenu parcourut la petite assistance, nous compris. La main de Leyla me serra plus fort.
    
    Il attrapa la vulve d’une main et d’un pincement de doigts étira son bouton puis approcha le lit à étriers.
    
    « Mets-toi en position »
    
    Une fois allongée, il fixa les bracelets sur ses chevilles et ses poignets et, grâce à un mécanisme à manivelle, releva ses cuisses ; nous avions sa chatte et son petit trou sous les yeux.
    
    Debout devant la panoplie d’instruments, il choisit cravache et pinces et, enveloppé dans un film, un bouquet que je devinais vite être des orties. Il enfila un gant, déballa ce qui s’avéra en être.
    
    Leyla se serra contre moi ; Je mis ma main à l’intérieur de sa cuisse. Elle se pencha vers mon oreille.
    
    -Tu as déjà fait ça ?
    
    Je préférai lui répondre « pas encore » plutôt que « jamais » ; toujours laisser la porte ouverte et l’imagination travailler.
    
    Ce fut alors que retentirent les premiers gémissements de l’esclave. Le bouquet à la main, les branches frôlaient l’intérieur de ses cuisses, méthodiquement. Elles rougissaient sous la piqure. Vint le « fouettage » de sa chatte qui pouvait paraître si inoffensif. Au bruit que faisait les déplacements de nos voisins sur leurs fauteuils, il était évident que les cris de « Karen » en dérangeaient certains ; Leyla n’y échappait pas.
    
    Lorsqu’il ...
    ... reposa les plantes, le corps de la soumise continua à être secoué de soubresauts ; l’effet urticant mettait du temps à se dissiper.
    
    Expérimenté et sans doute conscient de la fausse gêne engendrée par ces sévices, il fixa un bâillon sur sa bouche et s’empara de la cravache.
    
    « A quoi sert la chatte d’une esclave ?
    
    Le corps de Karen continuait à se tortiller essayant en vain de serrer les cuisses. Un coup de cravache s’abattit sur ses lèvres.
    
    « Je n’ai pas entendu ta réponse ». Nouveau coup. Bâillonnée, les sons émis étaient incompréhensibles ; elle répétait les deux mêmes syllabes : « EUUNI, EUUNI, EUNNI ». Coup de cravache.
    
    « Je ne te comprends pas, répète ». Karen s’époumonait pendant que la cravache la frappait.
    
    « Tu veux dire PUNIE ? »
    
    Elle hocha la tête.
    
    « C’est bien, tu as compris, c’est le bon mot. Ta chatte ne sert qu’à ça ».
    
    Les coups de cravache commencèrent alors vraiment. Le bruit de chaque impact m’excitait et la main que Leyla posa sur ma cuisse trahissait sa propre excitation. Le bruit des coups s’accéléra puis se ralentit pour repartir ensuite de plus belle. Même s’ils étaient présents, les grognements assourdis de l’esclave ne dérangeaient plus personne. Comme nous, l’assemblée crispée jouissait du spectacle.
    
    Lorsque les coups cessèrent enfin et qu’elle fut libérée de ses entraves, elle resta allongée, le souffle court, gémissante. Son maitre un gode imposant à la main entreprit de le faire pénétrer dans son vagin. Il rentra d’un coup ...
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