1. Séduction, amour et soumission (10)


    Datte: 06/04/2023, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: divinmarkiz, Source: Xstory

    ... Chacun de mes mouvements lui arrachaient un gémissement.
    
    J’enfilai un gant de crin sur chacune de mes mains ; posées sur les lèvres de sa chatte, j’entamai un doux frottement qui s’intensifia. Ce n’est que lorsqu’elles furent brulantes et écarlates que je cessai.
    
    En retirant les pinces, une marque resta.
    
    -J’ai très mal Marianne.
    
    -Je sais et je suis contente que tu aies mal.
    
    -Moi je suis contente de te faire plaisir. Je voudrais te sentir dans ma chatte.
    
    Aussi mouillée que soit Leyla, elle était encore très serrée.
    
    -Lorsque tu rentreras de vacances je veux que ta chatte soit beaucoup plus ouverte.
    
    -Moi aussi je voudrais, je voudrais te sentir plus en moi.
    
    -Je vais commencer aujourd’hui à te dilater et je te donnerai des exercices à faire.
    
    Je pris l’écarteur qui pénétra sans difficultés mais son ouverture était trop importante pour le vagin de Leyla, à ce stade.
    
    Le speculum fut plus approprié. Elle se laissa faire ; la molette en butée, je ne pouvais détacher mon regard de son orifice béant.
    
    -J’aime être ouverte pour toi.
    
    Je fis pénétrer me doigts pour la caresser.
    
    -J’aime sentir tes doigts, c’est si bon.
    
    -Tu porteras un gode pour rester ouverte le reste de la journée.
    
    -Oui Marianne
    
    -Maintenant il faut nous préparer avant d’aller à ce rendez-vous, à cette séance.
    
    -Je pourrais te laver encore ?
    
    -Mais tu le dois.
    
    Notre rite de la douche entamé la veille se répéta.
    
    -Avant de nous habiller, viens que je pose ton ...
    ... gode.
    
    Je pris deux gros élastiques (autre détournement !) qui passaient autour de ses cuisses et se rejoignaient dans sa raie. Debout devant moi, j’introduisis le membre de silicone et le fixai en faisant une boucle avec chacun des élastiques. Il était parfaitement immobilisé. Entre cet objet qui la pénétrait et l’irritation du gant de crin, sa démarche n’était ni naturelle ni élégante mais elle était délicieusement obscène pour moi qui savait. J’appelai un taxi. 15 minutes d’attente. Interdite de porter une culotte, je profitai de ces quelques minutes, dans un désir de frustration, pour lui caresser le clito, moi assise, elle debout devant moi.
    
    Le taxi nous déposa devant un petit hôtel particulier ; en haut des marches du perron se trouvait un homme, l’appariteur qui, le nom de code prononcé, nous laissa entrer. Celle qui devait être la maitresse de maison nous accueillit ; habillée d’une tenue classique elle nous demanda nos téléphones ; aucune photos ou vidéo devaient être prises. Tous ces mystères auraient pu m’inquiéter si ce n’est que je gardais en tête la caution de Pierre lui en qui j’avais confiance. Elle nous conduisit au sous-sol dans une vaste pièce aménagée. Moquette au sol comme sur les murs, porte capitonnée, le lieu était étudié, entre autres pour étouffer les bruits. Deux rangées de quatre fauteuils étaient disposées en arc de cercle ; n’y régnait qu’une lumière faible et diffuse. Ce qui frappait c’était les « meubles » disposés sur une vaste estrade. D’abord ...
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