1. La cousine de Manu...


    Datte: 05/04/2023, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Alainylon, Source: Hds

    ... la chaleur, le derrière de la cousine se couvrait de chair de poule. Elle secoua la croupe de droite à gauche, comme pour chasser une mouche et dit d’une voix lasse comme pour elle-même.
    
    - Allez-vous en maintenant vous me tenez chaud… fit-elle en levant la tête pour nous regarder par-dessus son épaule, avec une drôle d’expression sur le visage.
    
    Ses joues étaient écarlates et ses narines dilatées par une bouffée de chaleur. Elle se mordit la lèvres. Je surpris une lueur insolent dans son regard.
    
    - Vous exagérez ! aller donc vous baigner. s’exclama-t-elle sans
    
    emportement avec une voix rauque.
    
    Après avoir lâcher ses quelques mots, elle baissa les yeux et reprit sa position initiale, la tête dans ses bras repliés. Excités par sa passivité, nous restâmes interloqués. Sur un coup d’œil de Manu, que je pris pour un encouragement, je frôlais du bout des doigts les chairs durcies. Maria resta immobile. Sa fesse s’amollissait. J’en profitais pour enfoncer mes doigts, cherchant sournoisement à faire mal. La peau blême se couvrit de marques rouges. Il lui en fallut pas plus pour crier.
    
    - Aie, doucement ! Qu’est-ce que tu fous. Ça m’étonne pas que tu n’ais pas une copine…
    
    Manu étouffa un rire mauvais, alors que lui aussi pinça de son côté le derrière de sa cousine. Saisissant un bourrelet de peau entre les doigts, il le fit tourner, en tirant la fesse sur le côté. La raie apparut à ...
    ... l’échancrure du slip, marquée d’un sillon rose tapissé de poils blonds. S’enhardissant, il tira davantage, pour mettre à nu une portion de la tache brune de l’anus, striée de plis concentriques. Retenant mon souffle je me penchais pour reluquer de plus près le trou du cul renflé, bordé de poils blonds qui se fronçait. J’aurai voulu que ça dure une éternité. Marie ne disait rien, plongée dans sa torpeur pendant qu’en lorgnaient sous son slip. Mais cela ne dura aussi longtemps que je le voulu, comme s’était prévisible, elle nous repoussa, brisant le charme en rajustant son maillot pour mon plus grand désarroi. Comprenant que nous avions été trop loin, nous n’insistâmes pas. Elle ne prit pas de pincette pour dire ce qu’elle pensait de nous :
    
    - Des vauriens perverses…
    
    -Mais cousine !
    
    -Il n‘y a pas de cousine qui tienne, foutez moi le camp !
    
    Mais je trouvais pour ma part, que sa colère manquait de conviction. Cela nous empêcha pas de nous éloigner comme elle nous l’avait si gentiment dit. Nous allions avec Manu nous baigner, laissant le temps à Maria de se reprendre.
    
    - T’as vu ? Me fit Manu.
    
    - J’ai vu quoi, outre qu‘elle était fumasse.
    
    - Que c’est une vrai salope, souffla Manu. Crois-moi, elle aime qu’on la tripote.
    
    -Eh bien c’est pas ce que j’ai ressenti.
    
    Nous avions barboter une bonne heure avant qu’elle daigne nous informer qu’elle n’était pas contre de rentrée.
    
    À suivre… 
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