1. La dépression de mon beau-père...


    Datte: 05/09/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Georges, Source: Hds

    Voici un an et demi que nous somment mariés Jérôme et moi, Ingrid, il a vingt-six ans et moi vingt-quatre, nous nous entendons parfaitement bien même si il est un peu coincé coté libido, petit à petit j’arrive à lui faire admettre que je puisse me promener en petite tenue dans la maison et sans culotte lorsque nous sortons ensembles, il ose après bien des efforts de ma part accepter certaines positions ‘dégradantes’ à ses yeux alors que moi je raffole d’excentricités, me laisser avaler son sperme n’est pas chose facile, mais foi d’Ingrid j’arriverais à faire de lui un amant digne de ce nom !
    
    Hélas un grain de sable vient de gripper mes rouages… Louis, mon beau père fait une dépression suite au décès de sa femme, il ne s’alimente plus ou très mal, en arrêt de travail pour deux mois nous avons décidés de le prendre à la maison
    
    Ça ne me gêne aucunement car il est encore bel homme et très sociable, pour lui je suis ‘sa Gigi’, il mérite que nous nous occupions de lui, restant à la maison je peux avoir un œil sur lui et l’obliger à faire la sieste l’après-midi après avoir pris une sorte de somnifère, de ce fait il se repose durant deux heures, par souci de vérifier qu’il dort bien je lui demande de laisser sa porte entrouverte, volets mis clos la chambre est plongée dans la pénombre
    
    Évidement cette cohabitation freine nos envies, aussi je profite de ce temps de liberté pour me satisfaire dans ma propre chambre, vêtue d’un long teeshirt et d’un string je passe dans le ...
    ... couloir et en même temps devant sa porte afin de vérifier qu’il dort … c’est d’un commun accord que nous avons décidé que je resterai en tenue ‘décontractée’ afin de lui remonter le moral
    
    Quoi ?? Ai-je bien vu ? je fais un pas en arrière … j’entends sa respiration régulière, limite ronflement, preuve qu’il est bien assoupi, mais, il a une main posée sur son ventre ou plus précisément sur son caleçon ouvert d’une fente et dans sa main ce ne peut être que sa verge… a demi bandée si j’en juge la grosseur, mon cœur fait un bond dans ma poitrine qui se soulève entrainant une réaction en chaine qui se traduit par une goutte suspecte au fond de ma petite culotte
    
    Je dois en avoir le cœur net, rassurée par la respiration régulière j’avance a pas de loup vers le lit, ma vue adaptée à la semi obscurité je vois la queue décalottée posée entre son pouce et son index, il a dû être terrassé par le somnifère avant d’avoir pu mener sa masturbation à son terme, pauvre homme, et si j’essayais de le satisfaire ? et surtout prendre en main ce membre nettement plus épais et plus long que celui de son fils
    
    Avec mille précautions je pose son bras le long de son corps, il dort toujours profondément, la verge repose sur sa toison et même au-delà, quelle belle bite poilue ! je la caresse du dos de la main comme je le ferais a un petit animal, un soubresaut … la queue reprend lentement sa rigidité, j’humecte deux doigts de ma salive et frotte doucement son frein, le gland grossi encore, pas de ...
«1234»