1. Une nuit de trop


    Datte: 04/04/2023, Catégories: fhh, extracon, hotel, jalousie, dispute, Oral fsodo, Humour extraconj, Auteur: Patrick Paris, Source: Revebebe

    ... lui ai révélé le motif de notre visite.
    
    Comme tout employé consciencieux, il ne se mêlait pas de ce qui se passe dans les chambres, impossible de m’indiquer le numéro de celle occupée par ma femme depuis bientôt une heure.
    
    Je ne sais pas ce qui l’a convaincu, mon poing à quelques centimètres de son nez ou le vase de fleurs posés sur son comptoir qui a atterri sur le sol à une vitesse non compatible avec son usage. C’est donc muni de la bonne information, et d’une clé de secours, que je suis monté chambre 214 au second étage de l’hôtel Kyriad Prestige Nord, toujours suivi de madame Kevin.
    
    Sans plus de manière, j’ouvre en grand la porte qui cache la trahison de celle qui est encore ma femme.
    
    Nous ne sommes pas les bienvenus, sur le lit, trois corps nus enlacés ne nous attendaient manifestement pas. C’est Lucy qui crie la première, de surprise ou est-ce son premier orgasme ? Toujours est-il que nous arrivons au bon moment ou au mauvais, tout dépend pour qui.
    
    Je fonce dans le tas, laissant Maryse à sa surprise de voir son mari en pleine action avec une trique à laquelle elle n’était pas habituée, à moins que ce ne soit la découverte de celle de Lucas.
    
    Ayant fait du foot dans ma jeunesse, ma tête a atterri sur celle de Lucas, tandis que je shootais dans les couilles de Kevin qui venait juste de sortir sa bite de la bouche de ma femme. But !
    
    Allez savoir pourquoi, un réflexe, je jette par la fenêtre le paquet de vêtements que je trouve par terre au pied du ...
    ... lit, pêle-mêle ceux de ma femme et ceux de Lucas et Kevin.
    
    Ils atterrissent sur la tête des policiers qui arrivaient, suite à l’appel affolé du concierge. En voyant des sous-vêtements féminins, sans savoir c’était la culotte de ma femme, sur la tête de leur collègue, les policiers comprirent que cette fois, ils ne s’étaient pas déplacés pour rien.
    
    Guidés plus par les cris provenant du deuxième étage que par le concierge, les policiers arrivèrent devant la chambre 214 dont j’avais laissé la porte ouverte, juste obstruée par la femme de Kevin pas encore remise de sa surprise.
    
    Le spectacle n’était pas banal, une femme et deux hommes nus, l’un se tenant le nez dont le sang avait éclaboussé ses partenaires, l’autre tenant maladroitement ses attributs masculins avec un rictus ne présageant rien de bon.
    
    Ayant remarqué qu’un nez cassé saigne abondamment, notre hôtelier râlait pour les draps.
    
    Galants hommes, les policiers s’occupèrent en premier de la femme qui sous l’effet du choc depuis mon arrivée n’avait pas eu la présence d’esprit de cacher sa nudité.
    
    L’interrogatoire de madame allait s’éterniser compte tenu du zèle de ces fonctionnaires, lorsqu’un policier, moins intéressé que les autres par les nichons de ma femme, remarqua qu’il serait peut-être utile de faire venir une ambulance pour les deux hommes nus, l’autre habillé, c’est à dire moi, n’ayant à première vue pas besoin de soin particulier, ni la femme hagarde qui bouchait toujours la porte d’accès à la scène ...
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