Pauline et La Queue De Cheval - Histoires de Sexe

Pauline et La Queue De Cheval

... ensuite fixé une double ceinture en cuir noir autour de ma taille, fermée par un ceinturon en argent et à laquelle était attachée derrière une magnifique queue de cheval en faux crin qui suivait la courbe de mes fesses. Mes bras étaient liés par une barre couleur or qui les maintenait derrière ma nuque. Mes seins étaient dressés et fiers. "C'est simple comme tenue mais l'effet sera terrible. Le maître va bander comme un âne, quand il va te voir, les mains et les bras liés. S'il ne jouit pas dans ma bouche, tu peux t'attendre à être gâtée, ma chérie! Joli baptême n'est-ce pas?! Appelle moi Clémentine!"

Je me suis fait alors la réflexion que cette douce inconnue faisait partie elle aussi du personnel de l'hôtel. Je ne la reconnaissais pas certes mais c'était une intuition : le maître au fil de ses nombreux séjours parisiens avait recruté parmi les employées et il devait disposer d'un petit harem de femmes excitées par sa fortune, son charme et son goût pour la lingerie et le fétichisme.

Gustav est sorti du bureau qui terminait la suite dans son angle nord-ouest. Il portait lui aussi une cagoule noire et une longue toge en satin bleu. Les règles du jeu étaient connues de Clémentine seulement. Mais elles seraient acceptées par moi sans aucune hésitation. C'etait un jeu dont je n'étais qu'une simple actrice, mais j'espérais jouer un rôle de premier plan au fil de mes prestations! Il y a une semaine, je n'aurais jamais pu imaginer que mon métier très VIP me conduirait à ...

... vivre ces moments torrides.

Le scénario du jour avait été écrit, hier peut-être, par Gustav, et j'y avais été ajoutée avec ma queue de cheval et mes liens. Ce qui allait suivre m'importait peu, j'étais tellement heureuse d'être là, cette situation stimulait mon imagination et ma sexualité. Non seulement, j'étais célibataire, libre et heureuse après une rupture compliquée mais en plus j'avais la chance d'avoir rencontré Gustav et de pouvoir me retrouver au milieu de situations toutes plus perverses les unes que les autres.

Suivant les instructions de Clémentine, je me tenais contre l'un des piliers du salon, de profil, en m'efforçant de garder la tête baissée. Ma croupe saillait et le crin de la queue-de-cheval chatouillait l'entrée de mon sexe.

Pendant vingt bonnes minutes, assis dans le canapé en angle, à cinq mètres à peine de moi, Gustav et Clémentine ont conversé au sujet d'un séjour à Rome et pour le peu que j'ai réussi à comprendre (ils murmuraient à vrai dire) c'était un projet très fétichiste! J'ai entendu "la chambre est équipée Maître", "la lingerie italienne de luxe est arrivée" et "nous serons six". En tout cas, ils faisaient comme si je n'étais pas là! Pas un regard. La position ne m'était pas très confortable, mes bras fatiguaient vite, mais proposer ma croupe, les yeux cachés derrière mon loup, exhiber mes seins nus et libres, était un plaisir intense et j'étais prête à souffrir pour conserver cette vague d'excitation qui me parcourait le corps. La voix de ...