1. Barbara 1


    Datte: 04/04/2023, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Mimi68, Source: Hds

    ... la banlieue, à l’extérieur de la ville.
    
    - Ha ben moi aussi, si vous voulez je peux vous ramener directement.
    
    - Je ne voudrais pas abuser de votre temps.
    
    - Pensez donc, vous n’allez pas poireauter à attendre un taxi. Je vous ramène.
    
    - Dans ce cas, merci.
    
    - C’est un plaisir.
    
    Plus nous approchions de l’adresse de ma passagère, plus je sentais mon désir envers cette femme augmenter. Cette femme opérait en moi une réaction en chaine que je n’arrivais pas à juguler bien que mon éducation me fît me retenir mais jusqu’à quand ?
    
    - Voilà, c’est là, la maison à droite. Attendez, je vais déclencher l’ouverture du portail.
    
    - D’accord, vous avez une très belle maison.
    
    - J’ai hérité de mon ex-mari qui était assez riche. Ion a divorcé il y a dix ans.
    
    - Ha je suis désolé.
    
    - Ne le soyez pas, vous n’y êtes pour rien, et puis c’était un macho qui méprisait les femmes, dont moi. Alors maintenant, je suis libre de faire ce que j’ai envie et quand j’en ai envie.
    
    - Ha, dans ce cas, je suis très content pour vous.
    
    - Merci. Et je compte bien continuer à rattraper le temps perdu.
    
    - Je vous comprends, vous méritez d’être heureuse.
    
    - Décidément, vous êtes très aimable.
    
    J’arrêtais la voiture devant l’escalier qui menait à la maison.
    
    - Venez Michel, suivez-moi.
    
    - Je vous suis, avec plaisir.
    
    Je suivais Barbara dans les escaliers, je ne pouvais détacher mon regard de son bassin qui balançait quand elle montait les marches. Elle montait les escaliers ...
    ... divinement, on aurait cru qu’elle montait sans peine, avec une légèreté déconcertante. Et ce que je remarquais c’est que, comme je le pensais, elle ne portait pas de soutien-gorge. Là, quand elle se déplaçait ses seins ballottaient. Il n’y avait plus de doute. D’ailleurs cette robe d’été à bretelles fines se portait sans rien dessous.
    
    Barbara ouvrit la porte puis nous arrivâmes dans le hall d’entrée. Je pouvais sentir son parfum qui sentait l’abricot et qui se mariait parfaitement à l’odeur de sa peau que je commençais à deviner. Barbara ouvrit les portes du salon et me fît entrer.
    
    - Venez Michel, vous voulez boire quelque chose ?
    
    - Je veux bien un verre d’eau.
    
    - De l’eau, à cette heure-ci ? vous ne voulez pas l’apéritif ?
    
    - Oh si vous voulez, je n’osais pas demander ça.
    
    - Vous êtes charmant, franchement. Vous avez du tact, j’apprécie.
    
    - C’est mon éducation, je crois.
    
    - Oui, sûrement. Je vous sers du champagne ?
    
    - Ah ben je veux bien, merci.
    
    Barbara alla à la cuisine pour chercher une bouteille de champagne. J’en profitais pour jeter un œil au salon qui était meublé avec des meubles de valeur. Des meubles en marqueterie de toute beauté. Je voyais Barbara revenir de la cuisine avec la bouteille et deux flutes, je pouvais admirer sa silhouette de femme mûre qui à mes yeux était beaucoup plus agréable que les silhouettes des jeunes femmes trop parfaites. Je devinais des seins lourds et denses, avec pourquoi pas, de beaux tétons épais entourés de ...
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