1. La face cachée de ma cousine (5)


    Datte: 02/04/2023, Catégories: Hétéro Auteur: Acromion7, Source: Xstory

    ... le lit et prit le gode. Je commençai à l’approcher lentement vers mon anus. Des frisons me parcoururent mon corps lorsqu’il fut au contact de mon orifice. Je le pris en bouche pour le lubrifier et le repositionna devant l’entrée.
    
    Je l’enfonçai progressivement en faisant des petits mouvements circulaires. Les premiers millimètres étaient douloureux, mais rapidement, le désir et l’excitation ont pris le dessus. J’avais l’impression d’avoir découvert une nouvelle partie de mon corps. Les perceptions étaient différentes de celles ressenties lors de mes masturbations vaginales. Je pouvais sentir le muscle de mon sphincter forcer sur le gode. Instinctivement, mes hanches commencèrent à bouger en gardant le rythme de mon excitation. J’adorais sentir mon anus occupé !
    
    Il m’était difficile de me reconnaître lorsque je me suis regardée dans la glace. Je vis une autre fille allongée sur le lit en train de se sodomiser. J’étais en transe, transpirant de plaisir. Je m’observai une nouvelle fois en laissant le gode dans l’orifice. J’avais les jambes écartées, seulement le diamant du gode était visible entre mes cuisses. Mon regard s’arrêta ensuite sur mon beau vagin, libre de tout objet. La sensation était étrange de le voir, le gode dans mon anus au lieu dans mon vagin. Je rapprochai ma main de mon premier orifice et y glissai deux doigts. Je commençais à me masturber tout en observant dans le miroir. Le poids du gode me rendit folle de plaisir.
    
    Je devais accro à la masturbation ...
    ... anale !!
    
    Je tendis mon bras pour prendre le vibromasseur, je voulais masturber mes deux trous à la fois. Au moment de l’allumer, je fus frustrée de constater qu’il n’y avait pas de pile. J’ai sauté du lit et couru toute nue vers la salle à manger pour prendre les piles de la télécommande.
    
    Les mouvements d’ondulation de mes hanches firent glisser le gode anal de mes fesses et je le repositionnai avec le bout de mes doigts.
    
    Un moment de panique me parcourut le corps lorsque j’entendis la sonnerie du portail. Quelqu’un était dehors !
    
    La caméra de l’interphone me permit de reconnaître rapidement la silhouette de Marion. C’était une jolie fille toujours souriante avec de longs cheveux bruns qui faisait attention à son physique. Elle avait un corps que j’enviais.
    
    Cette interruption m’embêta, car je devais reporter mon moment intime à plus tard. Je partis rapidement dans la chambre pour enfiler ma robe avant d’ouvrir le portail.
    
    — Oui, qui est-ce ?
    
    — C’est Marion, je t’apporte les cours !
    
    — OK, je t’ouvre.
    
    J’ouvris le portail et je l’attendis à la porte d’entrée.
    
    — Salut, comment vas-tu ? me demande-t-elle.
    
    — Je vais mieux merci. Ce matin, ce n’était pas la grande forme. Comment étaient les cours ?
    
    — Une journée ordinaire, Paul était étonné de ne pas te voir. Je ne sais pas ce qui s’est passé, mais il a l’air d’être soulagé d’avoir des heures de colle comme sanction. Le proviseur adjoint l’aurait convoqué pour lui annoncer.
    
    — Ah bon ! Ce n’est ...