Week-end torride (1) - Histoires de Sexe

Week-end torride (1)

... folle de la serrer dans mes bras pour poser mes lèvres sur les sienne me saisit et je ne pus la contenir qu’in extremis. Elle dut ressentir mon silence pour une timidité de ma part car c’est elle qui prit les devants. Elle vint déposer un chaste baiser au coin de mes lèvres tout en laissant glisser la pointe de ses doigts tout le long de mon bras jusqu’au dos de ma main. Un frisson d’excitation me saisit avant que ses lèvres ne dévièrent légèrement vers mon oreille. Le murmure de sa voix embrasant tout mon être.

— Ne t’inquiète pas le week-end n’est pas fini Luc.

Mon prénom, prononcé par cette femme chaude et trop proche de moi, déclencha immédiatement un soubresaut dans mon boxer.

— Nous aurons certainement d’autres occasions de passer un agréable moment ensemble.

À peine eût-elle prononcé ces mots qu’elle recula de quelque pas en souriant pour refermer la porte. Mon esprit en ébullition et ma queue au garde à vous, je réussis tout de même à remettre tout en place avant de sortir penaud, mais béat.

Jacques et Clothilde, étaient déjà dans le jacuzzi lorsque je l’enjambais pour prendre place en face d’eux. Juste avant glissait tout mon corps sous l’eau chaude, j’entendis Clothilde proposer à quelqu’un derrière moi de nous rejoindre. Ma tête s’enfonçant dans la chaleur presque insoutenable de l’eau, je n’eus pas le loisir d’entendre la réponse. J’expirais de contentement avant de refaire surface. Mes mains chassèrent l’eau de mon visage et j’ouvris les yeux ...

... juste à temps pour voir le deux pièces sexy bleu et or d’Élise s’immergeant à côté de moi.

Mon cœur manqua défaillir lorsque ma queue se gorgea d’une quantité phénoménale de sang. Un sourire mutuel se peignit sur nos visages.

Nous nous racontâmes alors des souvenirs du mariage ou certains moments marquant passés avec nos hôtes. Ceux-ci étaient des bons vivants, riant et profitant de la vie à pleines dents, et les histoires cocasses ou les "dossiers" commencèrent à s’extirper de nos mémoires pour notre plaisir à tous. Mon pied glissa soudain sur le revêtement plastique lorsque je cherchais à me repositionner et vint toucher une jambe par mégarde.

— Toutes mes excuses, dis-je à voix haute.

— Il n’y a pas de mal me répondit Élise de sa voix suave et toujours aussi chaude accompagné d’un de ces sourires.

— C’est vrai qu’on est quand même bien à l’étroit. Il aurait pu prévoir plus grand, c’est inadmissible, plaisantais-je ironiquement.

Ma remarque les fit sourire et la discussion repris sur le moment où le marié avait un peu trop bu lors d’une soirée un peu guindée. La jambe d’Élise venant se coller à la mienne me fit totalement perdre la suite du récit. Ne sachant trop quoi penser je me décidais à laisser la mienne en place. Cette inaction de ma part fut prise pour une acceptation, car Élise se pressa un peu plus. Je crûs même ressentir un très infime mouvement naitre de notre contact délicieux.

Tout en essayant de reprendre la discussion l’air de rien, je jetais ...