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La femme au bar (1)
Datte: 31/03/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: tarasboulba65, Source: Xstory
... chambre. La suite était cossue et de larges fauteuils occupaient le centre de la pièce principale. Les hommes s’installèrent dans les fauteuils en vis-à-vis pendant que Sandra disparaissait dans la salle de bain. François servit les boissons alcoolisées et commença à deviser avec John lorsque Sandra fit son entrée dans la pièce, uniquement vêtue d’une mini-nuisette transparente grise et d’une paire de mules de la même couleur. Les larges aréoles de ses seins pointaient au travers de la soie, et sa toison rousse dépassait du bord en fourrure de sa nuisette, faisant un contraste saisissant avec sa peau parsemée de taches de rousseur. Elle était magnifique et tellement désirable dans sa totale impudeur que les deux hommes eurent un regain de désir en la voyant. Elle était tout excitée de s’offrir à la vue des deux hommes, elle effectua un lent demi-tour sur place pour les laisser admirer ses courbes et le galbe de ses jambes perchées sur ses mules puis vint s’assoir sur l’accoudoir du fauteuil de son mari en croisant les cuisses de telle sorte que John puisse entr’apercevoir sa vulve. Elle souriait malicieusement et appréciait grandement l’effet qu’elle avait produit sur les deux mâles. Elle embrassa son mari sur la bouche pendant que ses longs doigts ouvraient la braguette et allaient extraire son sexe. Une fois sorti, elle entoura le gland de ses doigts et imprima une légère rotation tout en faisant coulisser son poignet de haut en bas, le geste rythmé par les ...
... bracelets d’argent. Elle savait que cette caresse rendait son mari fou de désir à chaque fois et elle avait besoin qu’il soit très embrumé par le désir pour la suite des événements. John n’en avait pas cru ses yeux lorsque Sandra apparut dans son déshabillé ; elle était encore plus belle et désirable qu’il ne l’avait imaginé et son supplice n’en était que plus douloureux, il aurait tout au plus le plaisir de la voir caresser son mari et certainement lui faire l’amour après. C’était une consolation dont il se contenterait, il était un peu voyeur à ses moments perdus et la vue de cette rousse empalée sur le sexe de son mari lui déclencherait certainement un orgasme tout en étant passif. François commençait à perdre pied, sa femme prenant l’initiative des choses, lui avait coupé le souffle lorsqu’elle était apparue pratiquement nue devant un étranger pour le caresser ensuite devant lui sans vergogne. Sandra décida qu’il était temps de jouer son va-tout et tout en continuant sa caresse, se tourna vers John et avec une moue mutine lui posa la question de savoir s’il voulait bien se joindre à leurs ébats. A peine eut-il accepté qu’elle murmura à son mari de bien profiter de ce qui allait suivre, elle se mit à genoux devant John et fit prestement glisser le pantalon et le boxer en bas des chevilles. Le sexe de John étant tellement tendu qu’il battait sur son bas-ventre comme animé d’une vie indépendante. Sandra empoigna l’objet du désir et tournant la tête vers son mari, elle put se ...