Un malencontreux accident (2) - Histoires de Sexe

Un malencontreux accident (2)

... s’immobilisa, laissant le soin à son amant de choisir le rythme qu’il désirait. Il fit d’abord entrer son gland, qui se retrouva emprisonné par les parois si douces et si étroites, puis patienta un peu, torturant son avide partenaire qui ne désirait qu’une chose, de la bestialité. Morgane poussa un long gémissement, comme une plainte, et ce fut ce qui le décida à bouger. Il s’enfonça alors sans retenue au plus profond de son antre et commença à la marteler puissamment.

— Oh oui continue ! Vas-y... c’est trop bon... ne pouvait s’empêcher de crier Morgane.

— Tu aimes ça salope hein ? Tu en veux encore ? dit-il en l’embrochant encore et encore.

— Oui c’est bon... défonce-moi... vas-y plus fort... haleta-t-elle.

— Petite chienne, tu aimes quand je te défonce hein ?

— Oui... s’il te plaît... laisse-moi jouir...

— Pas encore, petite impatiente...

Il se pencha plus près d’elle, ramenant ses jambes contre son torse et sa bouche s’empara de ses lèvres tandis qu’il continuait de la démonter plus fort, comme elle le désirait. Leur baiser fut si intense qu’il ne prit fin que lorsque Morgane dut ouvrir grand la bouche ...

... pour crier sa jouissance qui venait de déferler sur elle, tel un tsunami d’émotions. Son orgasme impromptu déclencha celui d’Alex qui remplit sa douce chatte de sa semence en de puissantes giclées. Impossible pour lui de résister à ses spasmes enserrant son sexe vigoureux avec force et à la vision de cette femme si divine quand elle jouit voluptueusement, malgré son interdiction.

La vision de cette femme soumise, abandonnée dans les méandres du plaisir fit apparaître en Alex un nouveau sentiment de puissance encore plus intense qu’habituellement. De sentiments, il n’y en avait jamais quand il baisait. Mais là, en partageant ce baiser et en assistant à l’abandon total de cette femme entre ses mains, il avait ressenti quelque chose d’intrigant et profondément déroutant. Il s’écroula à côté d’elle, épuisé, et laissa Morgane venir se lover contre son torse.

— Pardon, je n’ai pas pu résister... dit-elle d’une toute petite voix empreinte d’excuses.

— Tu as désobéi, je vais devoir te punir... repose-toi un peu, nous verrons ça après... dit-il en caressant sa longue crinière noire alors qu’elle s’endormait paisiblement contre lui.