Mieux vaut tard que jamais.
Datte: 30/03/2023,
Catégories:
fh,
hplusag,
vacances,
plage,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
69,
préservati,
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsodo,
jouet,
échange,
confession,
libercoup,
Auteur: DeuxD, Source: Revebebe
... maintenant. Elle l’a déjà vu, du moins à distance, et elle en découvre la vérité.
Je la pousse vers les autres. Spontanément, elle se met en levrette alors que le couple brise son 69 pour que l’homme enveloppe sa tige de latex.
Anne s’empale sur lui alors que moi je pousse ma queue vers la fente rendue glissante de mes caresses.
— Ahhhh, fait la femelle alors que je la remplis.
— Chéri, il est gros, très gros, avoue la salope à son mari alors que je commence à la baiser.
Anne me regarde, souriante, complice. Chacun son petit jeune….
Il ne faut pas polluer. On récupère les capotes dans un sac. Nos petits jeunes sont prévoyants. Le monde à l’envers.
Elle s’accroche à lui comme à une bouée. Ses bras entourent son cou, ses jambes étreignent ses hanches. L’homme l’a soulevée comme une plume. La jeune femme obèse ne devait pas connaître cette façon de faire. La libertine… probablement que oui. C’est elle qui s’est laissé glisser sur la queue que le désir a retendue.
Sous le regard de Julie, la complicité de son mari, je m’avance vers eux. Mon bâton a la vigueur de mes vingt ans. Si quelqu’un veut mon Tadalafil, qu’il me donne son adresse, je lui enverrai.
Moi, c’est mon cerveau qui se charge de distiller ce qu’il faut pour que ma femme ressente la pression ferme du vieux bâton. Je me frotte contre son dos, contre ses reins. Elle tourne son visage vers moi. Son regard est trouble. Son amant ...
... l’a déjà fait jouir et c’est bien parti pour qu’il recommence.
J’avais oublié. Rien à voir avec le gode noir. C’est une vraie bite d’homme que je sens qui se frotte à la mienne alors que je trace mon chemin. Elle est ouverte, mais je suis si gros et Julien n’est pas mal non plus.
Elle gémit, me tend ses lèvres, se penche, se cambre.
Son corps se relâche. Je sens – et probablement que Julien aussi – qu’elle glisse un peu plus sur nos deux bites complices.
Tant pis si je me fais un tour de reins, mais je ne peux rester inactif. Penser à fléchir les jambes plutôt que se pencher. C’est la gymnastique que toute personne doit avoir à l’esprit.
Flexion. Extension. Ahhh…
Flexion. Extension. Ahhh…
Mais Julien vient au diapason. Il la soulève. Je l’aide. Il la relâche. Je fais de même.
Ce ne sont plus les pistons qui bougent, ce sont les cylindres qui se déplacent.
Julie veut participer. Chacune de ses mains palpe nos fesses et elle n’a pas peur d’envelopper mes couilles dans sa paume.
Putain que c’est bon.
Ahhhhhhhhhh… crie la possédée.
L’écho est énorme. Vos gueules les mouettes ! Laissez-moi déguster ces cris de plaisir, cette jouissance partagée entre nous, les humains.
Allez jouer ailleurs…
Soixante-quinze ans.
L’âge de la sagesse ?
Surtout pas !
— Chérie, j’ai un ami de passage qui vient dormir à la maison.
— Oh, comment on va faire ? J’ai justement invité une amie.