1. A la recherche du plaisir (2)


    Datte: 05/09/2018, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: normand14, Source: Xstory

    Marie
    
    Je ne comprends pas mon corps, je frissonne, j’ai envie de me faire prendre, jamais auparavant je n’avais ressenti un tel désir. Je veux du plaisir. Pour la première fois de ma vie, je veux un plaisir égoïste, peu m’importe le partenaire, peu m’importe ce qu’il ressentira. Mon sexe dégouline à en tremper les draps, mais c’est mon fils qui est à mon côté, je n’ai pas le droit. Je sens son membre dur le long de mes fesses, qui s’agite, a des soubresauts. Pierre me retourne, il se couche sur moi en position, j’écarte mes jambes, et me pénètre d’un coup. Avec toute la mouille qui humidifie le haut des cuisses, son pénis n’a pas eu de mal, cette fois, à rentrer dans mon ventre. Sa jeunesse et son manque d’expérience lui font oublier la douceur. Je sens son sexe me labourer, mais c’est trop vite, trop violent. Je veux du plaisir. Je n’ai pas bougé jusqu’ici, je ne peux sortir de ma tête que c’est mon fils qui me lime.
    
    Tant pis, je positionne mes mains sur ses fesses et tente un mouvement pour positionner mon vagin et sentir ce sexe en moi. Malheureusement est-ce geste ? Pourtant le plus discret possible, je sens encore une vague de foutre me remplir. Je veux le haïr, le frapper, l’insulter, mais c’est mon fils. Il se retire, emportant avec lui une partie du trop-plein de sperme. Il se lève et repart dans sa chambre. J’ai envie de pleurer.
    
    Je traîne un peu au lit, car je travaille ce soir et je repense à cette nuit. Je ne sais pas comment je dois réagir envers ...
    ... Pierre. Ce matin, après une douche et retiré les draps du lit pour laver toutes ces traces de notre folle nuit, je rentre dans la cuisine. Pierre me dit bonjour sans lever la tête et finit son bol de chocolat, se lève pour se préparer et partir à la fac. Je reste debout, bois un café et ne parle pas non plus, ne sachant que dire.
    
    Pierre partit, je reste seule nue sous ma robe de chambre, j’ai retiré ma chemise de nuit, ce témoin de nos ébats de la nuit. Dans la salle de bains, je me découvre devant la glace et vois mon sexe velu et pas entretenu. Pour la première fois, j’ai envie de me faire une beauté à cette place et m’installe sur un siège jambes écartées et une jambe sur l’accoudoir. Je veux nettoyer, couper, épiler par endroit, pas un ticket de métro, comme c’est la mode dans les magazines, mais un joli sexe. Je m’applique avec les ciseaux, la tondeuse et la pince à épiler. Je n’ai pas vu le temps passé, les moindres recoins de peau ont été passés en revue, la journée est bien avancée et je dois me préparer pour aller à l’hôpital. Pierre est rentré et se trouve dans sa chambre pour étudier. Je l’appelle pour manger ensemble avant mon départ et avalons le dîner sans un mot. Je m’aperçois que nous n’avons échangé qu’un bonjour depuis la fin de soirée d’anniversaire.
    
    — Bonsoir Pierre, je pars au travail.
    
    — Bonsoir maman, à demain.
    
    Arrivée à l’hôpital, habituellement, je mets ma blouse sur mes sous-vêtements, aujourd’hui, je me sens belle dans mon nouveau corps et ...
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