Le charme fou de l'Asie (2)
Datte: 27/03/2023,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Lya, Source: Xstory
Episode 2
Je n’ai pas très bien dormi cette nuit. Après mon « expérience » avec Justine, je culpabilise un maximum et surtout, je suis inquiet, car je suis un homme discret et les rumeurs vont si vite ! Je ne désire pas avoir une réputation encore plus salace que celle que j’ai déjà. Car parler de cul, c’est OK, mais là... ça été bien plus loin.
J’arrive au bureau avec un peu d’appréhension. Justine est déjà là et comme tous les matins, elle m’apporte mon café avec le courrier. Un joli sourire qui est plus beau que d’habitude. Je la vois avec un autre regard, mais toujours très respectueux.
— Merci Justine. Pour hier, j’aimerais m’excuser.
— Tu n’as pas aimé ?
— Non au contraire, mais je connais ton mari et je ne veux pas d’histoires. Garder notre super relation est le plus important, tu ne trouves pas ?
— Ne t’inquiète pas, tu n’as pas de soucis à te faire avec moi, mais...
— Mais !!!
— Mais tu n’as pas réalisé que nous n’étions pas seuls hier.
— Oui, j’ai entendu que tu disais « bonne soirée » Merde, c’est la femme de ménage ! C’était qui ? La petite Samira ou sa mère ?
— La petite n’est plus si petite et elle devait être là depuis un bon petit moment. Sous ses petits airs... Elle est bien coquine celle-là.
— Que veux-tu dire ?
— Lorsque tu as fini sur mon visage, je suis allé aux toilettes pour me laver et elle était en train de remettre sa jupe... t’imagines. Une petite voyeuse...
Moi qui espérais que cela reste entre nous, c’est ...
... raté. Zut, zut, zut. Je connais bien la maman de Samira depuis plusieurs années, car elle s’est toujours occupée du ménage de mes activités tant à la maison qu’au bureau. Samira l’a rejoint, il y a un an. 20 ans et très mignonne, mais sans intérêt pour moi, car j’ai 55 ans.
— Tu es en train de me dire que je me suis branlé devant Samira ?
— Oui, je crois bien – me dit-elle en rigolant.
Voilà, une connerie qui en amène une autre. Non de zou. Je suis dans une mélasse terrible. Surtout si elle parle.
Justine, en me voyant au bord de la panique, met sa main sur mon genou, très proche de mon entrejambe, c’est l’impression que j’ai, mais je dois me faire des idées. Elle ne va pas recommencer à m’allumer. Tout le monde est au bureau même si celui-ci est fermé et que personne n’entre sans toquer à la porte.
— Ne t’inquiète pas. Elle avait l’air encore plus gênée que toi lorsque je l’ai découverte. Au moins, elle a dû se faire plaisir et ce sera un bon souvenir, non ?
Je n’étais pas convaincu, mais pour Justine, j’étais rassuré, car elle ne tentait rien.
Quelle journée de boulot ! Non-stop. Un client compliqué à la limite chiant, mais je le connais bien. François duJardin, un gars sympa qui a hérité de l’argent de maman. Un coureur de jupons, il vient souvent avec sa maîtresse qui d’ailleurs est à chaque fois différente. Notre discussion qui devrait être confidentielle ne l’est jamais, car il demande toujours l’avis de la charmante demoiselle.
Mais aujourd’hui, la ...