Cocktail du samedi soir
Datte: 27/03/2023,
Catégories:
fh,
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Voyeur / Exhib / Nudisme
intermast,
Oral
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initiat,
Auteur: ElodieParis, Source: Revebebe
... habituelles, elle poussait son mari dans les bras d’une autre femme, se sentant flattée, respectée et admirée pour cela par la timide étudiante. Olga était très fière de voir le petit papillon sortir de sa chrysalide. Il fallait encore dompter la puissance sexuelle que l’étudiante dégageait et dont elle n’avait pas conscience.
Entre les mains de ces gens incroyables, Elodie reprenait de l’assurance. Elle se sentait un peu mieux armée pour sa soutenance de thèse de lundi. Et elle avait envie de profiter au mieux de tous ces enseignements. Le week-end était bien entamé, mais les progrès avaient été rapides. Il lui restait encore la fin de journée de ce samedi soir et tout le dimanche.
C’est Olga qui donna le signal du départ.
— Andiamo !(Allons-y !)
Olga, qui lisait à l’intérieur de la jeune fille comme dans un livre, sentit son malaise monter. Il fallait sortir de cet endroit clos. Olga proposa de laisser les nombreux paquets dans la boutique et de passer les récupérer plus tard. Elle plaça Elodie sous sa protection, prenant la main de la petite et la serrant très fort, lui disant :
— Ne t’inquiète pas, mon petit oiseau, je suis là.
Elodie était émue, se sentant comme un ange aux ailes brisées, placée sous la protection de cette femme si forte de caractère.
— Dès que tu sors de la boutique, je veux que tu mettes le feu à tous les gens que tu vas croiser, qu’ils lisent tes envies de petite salope dans ton regard. Tu dois faire bander les mecs et faire ...
... fondre les filles, les couples qui te croisent doivent d’imaginer dans leur lit. Tu es une actrice, comme au théâtre.
Elodie posa sa main sur son cou nu, où les suçons se voyaient toujours autant.
— Non, tu ne mettras pas de foulard, à toi d’assumer de m’avoir offert ton cou et d’être venue redemander des suçons.
Elodie se sentit motivée de devoir jouer un rôle qui n’était pas le sien, loin de sa personnalité d’apparence si réservée, sachant que cela pouvait l’aider à vaincre sa timidité et ainsi faciliter la présentation de sa thèse.
À peine avait-elle quitté l’espace protégé du magasin que les premiers passants de la rue piétonne posèrent leur regard sur elle. Le trio s’était mis en recul, laissant Elodie descendre la rue toute seule.
En connaisseur, Mario appréciait le spectacle :
— Che culo ha, questo piccolino !(Quel cul elle a, cette petite !)
Olga en rajoutait :
— Non è vero ? Mio marito sogna di scopare questa alunno.(N’est-ce pas ? Mon mari rêve de baiser cette étudiante.)
Philippe ne disait rien, mais n’en pensait pas moins. Le spectacle le faisait bander, exacerbant son désir pour Elodie.
Tous les trois comprirent alors l’intensité des regards pervers qui pouvaient effrayer une jeune femme timide et le danger que cela pouvait représenter pour une fille qui était petite et mince, sans grande force physique : des noms d’oiseaux fusèrent quand elle passa devant un groupe de petits jeunes de banlieue attablés à un kebab. Devant les terrasses ...