1. Amoureuse de ma famille (1)


    Datte: 27/03/2023, Catégories: Divers, Auteur: Korbak76, Source: Xstory

    Quand notre père nous a abandonnées, toutes les trois, sans oublier Poutchi notre labrador, ça a été très dur pour maman qui n’arrêtait pas de déprimer alors qu’elle a toujours été d’une grande vitalité. Ma mère s’appelle Laura, elle a 47 ans et c’est une très belle femme, mince et brune et qui a toujours su prendre soin d’elle. Elle aurait pu facilement retrouver un homme, mais elle avait opté pour notre stabilité émotionnelle. Moi, Sophie, j’ai 19 ans et ma sœur Isa en a 18 et nous sommes ses deux prunelles.
    
    Et puis il y a mon oncle Patrick, veuf de la sœur de maman. Tonton est bel homme avec une carrure de sportif à ses 49 ans. Il est surtout très doux et aimant et il n’a pas perdu son esprit serein et positif malgré le décès de ma tata qui nous manque beaucoup. Il a toujours cultivé un air réservé même s’il adore les plaisirs de la vie, de la table et du lit ! Il a été là quand on a eu besoin de lui. J’ai tellement confiance en lui que je lui raconte tout et il connaît mes secrets les plus intimes. Il prit le temps de nous expliquer la situation, ce que maman ne pouvait pas faire, et cela nous fit du bien, surtout à Isa à qui il a fallu du temps pour assimiler.
    
    — Mes chéries, ce que vous avez vécu est difficile à comprendre et surtout à accepter, mais vous êtes fortes et courageuses comme votre mère. Tout ira bien.
    
    C’est avec notre chien que maman apprit à combler ce vide dans sa vie. Nous ne l’avons pas su tout de suite, car maman profitait des longs moments ...
    ... qu’elle passait seule à la maison pour satisfaire son appétit sexuel. Nous nous rendions un peu compte que Poutchi dormait beaucoup quand nous rentrions du lycée. Le fait d’avoir mis la main sur une de ses petites culottes trempées de sécrétions diverses nous mit sur la piste. Elle sentait la pisse, la mouille et surtout le sperme de notre ami canin.
    
    Comment pouvions-nous le savoir ? Je dois avouer que Poutchi est notre partenaire privilégié en matière d’éducation sexuelle. Le goût et l’odeur de son sperme n’ont plus aucun secret pour nous.
    
    Un jour, je suis allée voir maman dans la cuisine et je lui ai dit :
    
    — Je sais que tu t’amuses bien avec Poutchi, on a vu ta petite culotte dans le panier à linge.
    
    Elle s’est approchée de moi et m’a prise dans ses bras :
    
    — Je suis votre mère, mais je reste une femme avec ses besoins de femme. Je ne voulais pas d’un homme qui aurait été un inconnu pour vous. L’idée de le faire avec notre chien m’est venue en vous voyant jouer avec lui. Ça avait l’air bien innocent jusqu’à ce que je comprenne... Vos petites culottes parlent aussi pour vous !
    
    — Nous ne te jugeons pas, nous t’aimons et sommes contentes de partager les mêmes goûts. Cela dit, tonton et toi, vous seriez bien ensemble. Il pense le plus grand bien de toi, il me l’a dit !
    
    — C’est quelqu’un de merveilleux et j’aimerais lui ouvrir mon cœur et mon corps aussi, mais je ne veux pas me passer de mon Poutchi !
    
    Nous avions fini par la surprendre en entendant, un ...
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