Mardi 27 octobre 1981
Datte: 26/03/2023,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Maceron, Source: Hds
... fois avec Véro. Elle est en pleine forme, puis arrive une série de tangos et là, c’est elle qui fit en sorte que nous puissions danser ensemble. A peine sur la piste, nous étions collés l’un à l’autre et je décidais d’aller de l’avant et la serrant fort, je lui dit : « Roules bien des hanches, … j’aime sentir te frotter contre moi, … fais moi bander, … »
Véro s’exécutant : « Comme ça, … j’aime me frotter contre toi, … surtout si tu deviens dur, … mets ta jambe, … »
Moi : « C’est bien, … je sens que ça vient, … puis on sortira, … »
Véro dans un souffle : « Ce que tu veux, … tu le sais, … Je suis ta maitresse soumise, … j’aime sentir ta jambe, … » En fait à chaque passage, elle se frottait le minou et je sentais à son souffle que tout cela faisait monter la pression, je la voulais chaude, très chaude, au point où elle aimait que la tête n’obéisse plus qu’au sexe. Lors de deux pas, je ne positionnais pas, volontairement, ma jambe au bon endroit, la réaction fut instantanée : « Tu es un horrible, … remets ta jambe, … je ferais ce que tu veux, … »
Alors je lui glissais dans l’oreille : « Tu mouilles, … »
Véro : « Oui, … tu le sais, … je serais prête, … et tu pourras me gouter, … OH, … ne t’arrêtes pas, … je mouille, … » et je me remis de façon à ce qu’elle puisse reprendre son petit jeu : « Oui, … c’est bon … OH, …oui, … je sens que ça vient, … OUIIIIII, … » et se cramponnant à moi, le souffle court, elle jouit gentiment.
Nous restâmes quelques instants ...
... collés.
Véro : « Tu es content de toi, … tu m’as excitée, … j’ai aimé, …il faut t’occuper de moi, … »
Moi : « Tu sais ce que tu es, … »
Véro : « Oui, … celle à qui tu viens de donner du plaisir, … et qui fait que tu es dur, … et qui va s’offrir entièrement à toi, … pour que tu prennes du plaisir, … et que tu lui en donnes, ... »
Moi : « j’espère que tu es bien mouillée, … »
Véro : « Goujat, … je ne suis pas mouillée, … je suis trempée, …» et elle partit vers les toilettes qui avaient une sortie donnant sur l’arrière du bâtiment, sortie discrète. Pour ma part, aussi discrètement je me dirigeais vers le bar et commandait une nouvelle tournée, et filait par l’entrée. Je me dirigeais vers mon 4*4 que j’avais garé comme d’habitudes éloignée du grand parking.
Elle ne fut pas longue à arriver et aussitôt, se fut un baiser goulu accompagné d’un corps à corps sensuel et excitant. Ce soir, elle avait un large corsage qui cachait ses formes et une jupe trapèze. Après ce corps à corps, j’ouvris le hayon (j’avais coupé la lumière intérieure, sinon on aurait servi de spectacle) et s’asseyant en relevant haut sa jupe : « Viens, … viens me gouter, … dis moi que tu aimes, … » et je plongeais entre ses cuisses pour la sentir et la gouter.
Moi : « Tu devrais arrêter de tailler, courte, ta fourrure, … continuer à épiler le reste, … mais ne pas la tailler, … »
Véro : « Tu n’aimes quand c’est court, … »
Moi : « Ça permet de bien voir ta chatte, … mais ça ne conserve pas ton ...