1. Elise franchit un cap


    Datte: 26/03/2023, Catégories: f, ff, fépilée, sport, revede, Masturbation init, lesbos, Auteur: Reveur73, Source: Revebebe

    ... m’accompagne maintenant sous la douche. Elle est dans mon dos, ses mains ont pris possession de mon ventre, de mes seins, elles tournoient, virevoltent légères comme des centaines de papillons sur ma peau. Non pas là, pas comme ça, pas comme une jeune fille qui se cache sous la douche. L’eau froide m’arrêtera, eau froide à fond ! C’est une torture, mes seins durcissent, ma peau me brûle. Je me rince à la hâte, me sèche vigoureusement.
    
    Je file me coucher, nue comme j’en ai maintenant pris l’habitude, je cale le réveil sur 6 h 45, le rendez-vous de huit heures ne doit pas être raté. Comme un boomerang, l’image de Svetlana me revient au visage.
    
    Ses longues jambes qui enchaînent les foulées félines, bondissantes. Ses chevilles fines qui délient le mouvement et l’amplitude de chacune d’elles. Ses fesses, miraculeuses, qui tressaillent à chaque bond.
    
    Ses hanches ondulant de droite et gauche au rythme de sa course. Ses seins, enfermés dans son soutien-gorge de sport renforcé pour les protéger des sursauts causés par l’apesanteur… mais tellement ronds, tellement désirables, ils semblent tellement souples et doux… Son cou, posé sur ses épaules fines et musclées, support altier de sa tête, digne des plus grands mannequins, tenue droite par son regard fixé sur l’objectif de sa course.
    
    Le feu ne s’est pas éteint en moi, il couve, la douceur de mes draps frais, juste changés ravive les braises enfermées dans mon ventre. Le film de cette grande blonde en tenue sexy souffle sur ...
    ... le brasier en veille. Mes mains, tels des pompiers pyromanes, viennent caresser ma peau, flatter mes seins, palper mon ventre, cajoler mon pubis imberbe. Elles se posent sur mes lèvres gonflées, gorgées de cette excitation trop longtemps contenue. Mes doigts gourmands se délectent de la fermeté retrouvée de mon clitoris. Cette perle nacrée trop longtemps ignorée, délaissée.
    
    Les images de ma jeunesse où je n’osais me toucher de peur d’être découverte par l’institution familiale. Toutes ces frustrations hier inconnues, enfouies jusqu’à l’oubli crispent mon ventre et serrent ma gorge.
    
    Aujourd’hui, j’ose ! Les aveux faits à Jean la semaine dernière m’ont libérée de ce carcan oppressant, enfermant ma personnalité étouffant ma sexualité enfin découverte. J’aime les femmes ! J’en suis sûre, « J’AIME LES FEMMES ! » me hurle mon esprit en silence. Me l’avouer en me masturbant ce soir fait monter des larmes de soulagement, fait enfler un feu couvant depuis des années en moi sans que je me rende compte de ce manque aujourd’hui mis à jour.
    
    Les fesses de Svetlana me sourient en courant devant moi. Elles quémandent des caresses, elles affolent mon esprit, mes doigts pressent mon clitoris bandé comme jamais, dur à m’en faire mal. Lui aussi réclame de l’attention, lui aussi réclame son dû, hurle sa frustration de n’être pas souvent choyé, torturé de caresses plus douces les unes que les autres.
    
    Dans mon rêve, enflammée par l’envie de ce divin fessier, je tends la main vers lui. ...