Ma tante, mon oncle et ... tous les autres (3)
Datte: 25/03/2023,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Kama666, Source: Xstory
... attaché à toi, "une vraie petite pute qui aime la bite" comme il me dit !
Elle passe de ma poitrine à mon sexe pour le branler avec beaucoup de douceur. Elle semble en apprécier le volume et sa jeunesse.
Je glisse de ses seins à son ventre et m’emparer de son sexe largement offert de par l’ouverture de ses cuisses. Tout est différent dans ce sexe de ce que m’a offert Jade ou Joyce, les lèvres paraissent plus resserrées, plus fermes, moins développées, mais tout aussi humides, tout comme le clito moins long et plus secret, par contre un véritable détonateur qui ouvre les vannes d’une fontaine de cyprine... trois doigts dérapent et glissent dans le vagin pour automatiquement la branler et masser son point G très rebondi... Notre jeu dure, sous les coups de reins incessants de Dom, chacun branle l’autre à sa manière jusqu’à ce qu’elle demande :
— Dom attends une minute, John donne-moi ton sexe, viens en 69 ! J’ai soif et faim de toi !
Dom s’arrête de la bourrer tout en continuant de l’embrasser dans le cou, je fais un tête-à-queue, place mes mains sur celles de mon cousin. Couchée sur le flanc, la cuisse levée, elle m’offre son sexe béant et la vue de la queue de Dom dans son cul, première fois que je vois de si prés l’accouplement de sexes.
Elle et moi nous nous occupons du sexe de l’autre. Elle suce, moi je lèche, elle avale, moi je pénètre, elle branle le manche, ...
... moi la tige, elle dégage le gland, moi le bouton... émerveillé par la beauté de cette fleur et l’abondance de son nectar odorant. Dom a repris son va-et-vient, le tronc brille couverte du jus de Martine, il s’enfonce, disparaît et réapparaît... si près de mes yeux émerveillés.
Mes doigts ouvrent les pétales de cette fleur, découvrent la fente cachée, écartent les bords pour en atteindre le cœur. Telle une abeille, ma langue plonge dans ce cœur et se couvre de son nectar, je m’y attarde. Les deux pétales se rejoignent sur une tige de près de 3 cm au sommet de laquelle un capuchon cache un bouton très sensible, du bout de la langue, je déclenche un afflux de jouissance.
Elle me prend le dard, le suce, manipule le tronc, masse les fruits à peine mûrs qui y sont attachés pour qu’ils lui donnent enfin quelques gouttes de la sève qui l’alimente, juste pour y goûter.
Mes doigts s’écartent de la fleur pour atteindre la vallée toute proche et le mandrin qui la perfore. La main s’enhardit et prend les fruits qui ballottent pour les accompagner dans leur va-et-vient ou aller plus en arrière et trouver le trou au centre de la vallée.
Dom sort son sabre de l’étui et me le présente, je le prends en bouche, il est gros, il est puissant, il est long... Martine accentue sa fellation et me branle comme pour obtenir le jus de mes fruits... La nuit ne fait que commencer, elle sera longue !