Ami d'enfance - Histoires de Sexe

Ami d'enfance

... ça, puis je lui ai demandé de s’allonger. Je l’enjambai et me mis en position pour m’asseoir sur son membre dur et huilé par ma salive. Je présentai son gland à l’entrée de mon antre et m’attendis à une plainte ou à ce qu’il arrête mais rien. Je m’assis sur son vit, son gland entra et je ne ressentis aucune douleur, seulement une chaleur bienfaisante. J’avais maintenant sa queue entière en moi, je le regardais dans les yeux. Pour la première fois, j’avais une vraie bite en moi et pas mes doigts.

— Dis donc, c’est entré tout seul, t’es mouillé comme une meuf, mon salaud !
— Tais-toi, baise-moi.

Il m’attrapa les fesses, me souleva un petit peu et commença à accélérer le rythme, me pilonnant de plus en plus vite.

— C’est ça que tu veux, te faire défoncer ?
— Oui, je veux que tu me prennes fort, prends-moi bien profond.

Je me relevai et le suppliai presque de me prendre à quatre pattes. Je me suis toujours dit que cette position me ferait sentir plus salope ! Il revint rapidement en moi et cette position m’offrit des sensations incroyables, il était doux, changeant de rythme, me disant qu’il aimait mon cul.

— Baise moi, remplis moi avec ta queue.
— Je vais pas tarder, t’es bien serré, c’est trop bon !
— Viens m’asperger la gueule avec ton foutre, je veux vraiment être soumis à toi.

Il me fit mettre à genoux sur le lit, lui debout et je le pompai, le branlai pendant une petite minute avant de recevoir son jus sur le visage, dans la bouche et je nettoyai son ...

... sexe avec ma langue.

— J’avais pas joui autant depuis longtemps.
— Mais moi je ne suis pas encore venu tu sais.

Je m’allongeai, il prit ma bite en main, me masturbant lentement, il lécha mes tétons, puis descendit me sucer quelques secondes et je lui dis que j’allais venir. Il me lâcha la queue, s’allongea et me dit :

— Viens sur moi, je veux sentir ton sperme sur ma peau.

Il me suça encore, nous étions en 69 mais seul lui suçait et me léchait les couilles, puis il me mit un doigt qu’il fit aller et venir de plus en plus vite et je ne pus me retenir, je le prévins et il me branla pour faire sortir mon foutre qui s’étala sur son torse, son pubis et entre ses jambes écartées.

Après de longues minutes de repos, je repris son sexe en main pour le masturber lentement, puis il descendit et me suça doucement, caressant mes testicules avec tendresse. Il approcha sa main de mon anus et entra sans difficulté un doigt qu’il fit aller et venir. Cela me faisait un bien fou. Il se mit à genoux entre mes jambes et arrêta de me sucer pour uniquement jouer avec son doigt. Il approcha son sexe et me pénétra à nouveau en me regardant dans les yeux.

— Je n’ai pas envie de te baiser mais de te faire l’amour.

Et il commença des va-et-vient lents, me léchant les tétons, me masturbant doucement, un vrai moment de douceur qui m’amena près de la jouissance. Je me retirai et me mis à quatre pattes. Il remit son sexe dans mon cul sans attendre et accéléra le rythme, je sentais ses ...