April, en quête de sexe 27 - Histoires de Sexe

April, en quête de sexe 27

... s'infiltra dans ma chatte. Il commença à me baiser en missionnaire et il me dit :

- C'est plus confortable de te faire baiser comme ça, pas vrai soumise ?

D'un coup, j'enserrai mes jambes autour de lui et je le renversai. Sven poussa un cri de surprise, il pensait tellement que je lui étais soumise qu'il ne s'attendait pas à ce que je le renverse. Je lui pris ses poignets et j'approchai mon visage du sien:

- Oh oui, ça va être beaucoup plus agréable maintenant, lui dis-je avec un sourire carnassier.

Je savais qu'il voudrait me renverser, me soumettre, me remettre à ma place. Pour l'en empêcher, je commençais la meilleure chevauchée de ma vie.

Je bougeais mon bassin directement à une vitesse folle. Ça fit pousser un cri à mon beau viking, qui resta cloué au lit par ma fougue. Toujours penchée sur lui, je le baisais comme jamais je n'avais baisée un homme. J'allais d'avant en arrière, de gauche à droite, de haut en bas, gardant un rythme fou. Sven n'arrivait pas à s'empêcher de crier, son corps tremblant. Je lui lâchai les poignets et je me redressai pour continuer à le baiser en le toisant de ma hauteur. Je lui griffai le torse, me satisfaisant de voir qu'il ne cherchait même pas à reprendre le dessus. Je le culbutai férocement, à toute vitesse, le baisant comme personne ne l'avait jamais baisé. Pour accentuer ma domination, sur lui, je lui donnai des petites gifles, lui pinçai ses tétons. Sven réagissait à peine : il était cloué au matelas, son torse ...

... transpirant d'excitation, son visage grimaçait sous mes coups de reins, ses mains s'agrippant au matelas. La situation m'excitait terriblement : j'avais un mec hyper musclé, viril, dominant avec une grosse queue, et ce mec était allongé sous moi, criant comme une fille, impuissant à me renverser. Et cette situation me rendait folle : j'étais excitée comme je ne l'avais jamais été, j'étais plus chaude que les flammes de l'Enfer ! Ce ne fut donc pas une surprise que j'obtins un orgasme d'une rare intensité qui me fit vibrer et crier. Habituellement, j'aurais été sonnée par orgasme comme celui là, mais j'étais tellement excitée, comme en transe, que je ne fus pas le moins du monde déstabilisée. Je continuais donc de baiser le pauvre Sven, qui était en train de se faire dresser comme jamais. Je me penchais légèrement vers lui et je le pris à la gorge :

- Tu aime comme te baise ta maîtresse mon esclave ?

Sven ne réagit même pas au fait que je l'ai appelé esclave et il me répondit d'une voix presque féminine tellement il prenait son pied :

- Ooouuuiii ! C'est troop bon ce que tu me fais ! T'arrêtes surtout pas !

Je lui souris et je lui donnais une petite gifle et je me remis à le chevaucher sauvagement. Je lui griffai le torse, le tenai à la gorge, lui mettai des petites gifles. C'en fut trop pour Sven qui ne put se retenir : il explosa dans un monstrueux orgasme, son corps se cambra tellement violemment qu'il faillit me désarçonner. Sa queue se déversa mais en moi mais Sven ...