Enfermé avec mon meilleur ami (2) - Histoires de Sexe

Enfermé avec mon meilleur ami (2)

... mouvement, son gland est recouvert par son prépuce puis libéré.

Je ne sais pas ce qu’il me prend, mais je décide de glisser ma main sous ses couilles. À mon grand étonnement, il ne dit rien, j’en profite donc pour les prendre à pleine main et les malaxer pendant qu’il continue sa masturbation. Ses couilles sont vraiment imposantes, lourdes et pendantes, un vrai plaisir à manipuler. Après quelques minutes de ce traitement, il me dit d’une voix sèche et autoritaire, mais avec une intonation proche de la supplication :

— Suce-moi !

Je ne lui ai pas demandé de répéter, je me suis installé entre ses jambes et me suis retrouvé face à cette colonne de chair imposante sous laquelle ses deux grosses couilles pleines de sperme pendaient. Par où commencer ? Mon fantasme devenait réalité, j’allais sucer mon meilleur ami et je comptais bien lui laisser un bon souvenir. Je me suis approché de ses couilles qui sentent le mâle excité, une odeur musquée douce et puissante. C’est enivrant. Je commence par lui lécher les couilles, puis je les gobe. Elles sont tellement grosses qu’une seule me remplit déjà la bouche. Ensuite, je remonte jusqu’à son gland en prenant soin de lécher chaque centimètre de sa large hampe. Arrivé au gland, l’odeur de bite est encore plus intense que je ne peux pas résister plus longtemps. Je prend sa bite à deux mains à la base et je l’enfonce le plus loin possible dans ma gorge.

Ce n’est pas la longueur le problème, mais sa circonférence est telle que je ...

... ne peux rentrer que les trois quarts de sa bite, mais je n’en démords pas. Je donne tout ce que j’ai, d’une main, je malaxe ses couilles tandis que l’autre branle sa queue en même temps que ma langue tourne autour de son gland. Je l’entends gémir de plaisir quand d’un coup sans prévenir, je sens sa queue gonfler encore plus dans ma bouche et ses couilles se resserrer, annonçant un orgasme imminent. J’aurais pu me retirer, mais j’ai soif de son sperme, je veux boire sa semence comme si ma vie en dépendait. Quelques secondes plus tard, dans un râle puissant, il bloque ma tête avec ses mains et je sens ma bouche se remplir d’un liquide visqueux au goût sucré acide. Un jet puis deux puis trois, ça n’arrête pas, j’ai l’impression qu’il ne finira jamais de se vider. J’arrête de compter après le huitième jet. Après trente jours d’abstinence, je m’y attendais un peu.

J’arrive à peine à tout contenir dans ma bouche déjà occupée par son gros gland. Après de longues secondes, les jets diminuent petit à petit, j’en profite pour lâcher sa queue et avaler ce que j’ai accumulé dans ma bouche. Une fois cela fait, je reprend sa bite qui est redevenue molle en bouche pour la nettoyer, je prend bien la peine de lécher son gland et passer ma langue sous son prépuce pour ne rien laisser de ce précieux nectar. Je continue de jouer avec sa queue maintenant molle pendant quelques minutes encore. Il ne dit rien et se laisse faire. Gentiment, il me repousse et se rhabille. Avant de remonter dans sa ...