Moi et Papa (2) - Histoires de Sexe

Moi et Papa (2)

... réveil, la seule différence entre toi et les autres, c’est que la tienne est énorme.

Il resta interloqué.

— Oh ça va... je suis pas la première à te le dire.

— Non en effet, mais ça n’est pas la même chose.

— Et pourquoi ?

— Tu es ma fille, tu n’es déjà pas censée voir mon sexe et pour ça, j’en suis désolé, mais...

— Mais on s’en fiche de ça, ça change rien à notre vie que j’ai vu ton énorme machin, tu m’as déjà vue à poil plein de fois, tu m’as fait prendre mes douches quand j’étais à l’hôpital l’année dernière.

— Tu es sûre que ça ne te gêne pas ?

— Pas du tout et puis j’ai juste à m’imaginer que c’est pour moi et ça flatte mon égo.

Je regardai à nouveau dans la direction de son sexe et vis qu’il tentait de le cacher avec ses mains, mais en vain, ce qui me fit éclater de rire.

— Alors ça, c’est ridicule.

— Aurore, tu pourrais arrêter de la regarder ?

— Tu sais quoi, je te laisse régler ton problème avec ta copine la vaginette, je vais préparer le petit-déjeuner.

— Hein quoi ?

— Je cherchais ta trousse de toilette et suis tombée dessus par accident.

— Ah...

Il fut encore plus embarrassé.

— Je pense juste que tu peux prétendre à mieux qu’un vagin en silicone.

— Oh voyons donc.

— Bah ouais, tu m’as moi.

— Tu es ma fille ?

— Et alors ? Je t’aime et je ne veux que ton bien, comme tu m’aimes et tu ne veux que mon bien, et il semblerait que ni toi ni moi ne trouvions quelqu’un pour nous satisfaire dans ce domaine et on ...

... sait tous les deux que, plus il y a d’amour, plus il y a de plaisir.

— Je sais pas à quoi tu joues, mais il va falloir arrêter.

— Je suis très sérieuse et en plus, t’aurais déjà fini de bander si c’était qu’une gaule matinale.

— Ça disparaît pas comme ça.

— Je sais aussi.

En disant cette phrase, j’attrapai son sexe.

— Aurore ?!

— Oui mon papa d’amour ?

— Retire ta main.

— D’accord.

J’y ajoutai ma deuxième main que je posai sur ses boules pour les malaxer tout en le masturbant de l’autre. J’attendais un signe de protestation de sa part, mais il n’y en eut plus. Il me regardait faire.

— Qu’est-ce qu’on est en train de faire ?

— Ta petite princesse adorée prend soin de toi avec le plus grand des plaisirs.

— C’est vrai ça ?

— Bien sûr, tu me crois capable de mentir sur ça ?

— Bien sûr que non.

Je déposai un petit bisou sur les lèvres.

— Je n’en reviens pas.

— Je suis si forte que ça ?

— Je ne parlais pas de ça.

— Ah...

— Tu as grandi si vite, mon petit bébé est devenu une exceptionnelle jeune femme.

— C’est grâce à toi tout ça.

Je lui fis cette fois-ci un gros bisou sur les lèvres.

— Je t’aime de tout mon cœur et j’ai envie de tout partager avec toi, absolument tout.

Il sembla vraiment touché par ma déclaration.

— Je t’aime aussi ma princesse et tu sais que je ferais tout pour toi.

— Je sais.

— Et t’en profites bien.

— J’avoue.

Je lâchai son sexe et lui retirai son caleçon, puis fis de même ...