1. Ma première fessée


    Datte: 05/09/2018, Catégories: fh, hplusag, Collègues / Travail médical, collection, fsoumise, Oral fsodo, fouetfesse, init, Auteur: Etoile, Source: Revebebe

    ... de plaisir. Il m’a dit que ce n’était pas encore fini, que je le savais. J’ai répondu :
    
    — Oui, vas-y.
    
    Il m’a frappé plusieurs fois de suite avec une forte intensité. Puis il s’est arrêté d’un coup, il m’a désimmobilisé de son autre bras. Je suis restée sur ses genoux et il a fait bouger le gode en moi. Puis il m’a demandé de me relever, de me déshabiller comme prévu et de le sucer. J’avais les fesses rouges, douloureuses mais j’étais bien. J’ai enlevé ma tenue que j’ai envoyé valdinguer au loin. Puis, Je me suis agenouillée, j’ai sorti son sexe du pantalon et je l’ai pris dans ma bouche. J’adore sucer, mais après une fessée, c’est encore plus jouissif de se sentir nue, dans une autre position humiliante à s’occuper de l’autre, alors que j’ai le sexe en feu qui attend sa récompense. J’avais le gode mais je ne pouvais pas le faire bouger avec les mains car je les avais autour de son sexe, aidant ma langue. C’était ma façon de le remercier, je lui en avais précisé les termes au resto. Il m’a dit :
    
    — Assez, relève-toi pour le final.
    
    Je me suis retrouvée de nouveau sur ses genoux, mais nue, entièrement offerte à lui. J’étais excitée, mouillée, trempée, désireuse de poursuivre. Cette position me plaisait car j’étais soumise, humiliée, dominée. J’étais bien .Mon corps ne me m’appartenait plus. Ce n’était plus moi le chef de mon corps et de mon cerveau.
    
    Il a commenté la couleur de mes fesses et a trouvé qu’elles avaient encore besoin d’une petite fessée. Il a ...
    ... réajusté le gode qui avait tendance à glisser tellement que j’étais trempée. Il n’a pas eu besoin de me tenir les mains qui essayent d’empêcher les claques. Je me suis laissée faire sans aucune résistance. J’étais vaincue. J’ai posé mes mains sur le sol et j’ai attendu. Il m’a d’abord caressé tendrement les fesses un petit moment. Puis, il a cessé et m’a demandé de lui dire ce qu’il me faisait. J’ai répondu qu’il me fessait à ma demande. Que c’était une fessée érotique, notre première fessée. J’étais toujours allongée en travers sur ses genoux, nue. Je trouvai agréable de parler ainsi dans une position inhabituelle sachant que cette première fessée allait s’achever dans une apothéose. Je l’ai alors supplié de le faire, de finir et non d’arrêter.
    
    — Tu vas avoir mal, très mal ! dis-moi que tu le veux.
    — Je le veux.
    — Dis-moi, je veux que tu me fesses très fort pour finir. Je veux que tu me fasses mal.
    
    J’ai répété ses paroles. Il m’a demandé de le répéter plusieurs fois. Je n’en pouvais plus, je me sentais dégouliner de cyprine, j’étais excitée, j’avais chaud de partout. Je trouvais plaisant d’être allongée nue sur un homme vêtu. Je n’aurai pas trouvé concevable qu’il soit déshabillé. J’ai eu un orgasme violent et bon, j’avais les cuisses mouillées. J’ai cru mourir de plaisir.
    
    Il s’en est rendu compte car je lui ai un peu imbibé la jambe de son pantalon. Alors, il m’a fessé de nouveau. Il m’a rapidement fait rougir les fesses. Toutes les sensations ont déferlé en moi, tout ...
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