COLLECTION HISTOIRE COURTE. Frustrée, puis ravie (1/1)
Datte: 21/03/2023,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
... qui sont allumés.
Alexander, le copain de mon mari semble avoir bien réussi, comme nous bien que ce soit en crossover de haut luxe que nous nous déplaçons.
Jean vient de descendre dans son smoking blanc, j’entends la porte d’entrée s’ouvrir et se fermer.
Je descends l’escalier surplombant la pièce unique avec sa baie vitrer nous permettant de voir la vallée de la Tarantaise enneiger une grande partie de l’année.
Dès le premier soir où nous sommes venues, Jean m’a couché sur la peau de loup devant la cheminée et m’a fait l’amour jusqu’au matin.
Le lever de soleil était grandiose et avant un petit déjeuner des montagnes avec saucissons et café, il m’a pris une dernière fois en levrette.
Ce fut l’un des rares moments où nous nous sommes trouvés en opposition, j’ai senti qu’il plaçait son gland sur mon anus et je l’ai rembarré.
Gentiment, mais rembarré quand même.
• Vous êtes Alexander, je suis Mélina, la femme de Jean.
• Des amis communs m’avaient dit que Jean avait épousé une beauté, ils étaient loin du compte, Miss France doit bien se tenir si elle veut garder son titre.
Grand et blond, son smoking impeccable, je lui tends la main.
Il l’a saisi et alors que je m’attends à un baisemain l’effleurant simplement, je sens ses lèvres carrément me l’embrasser.
Ça me fait frissonner.
Je le regarde avec étonnement, ça devant mon mari.
• Alexander, merci d’avoir accepté notre invitation, Whisky ?
• Un jus de fruits se sera parfait, jamais ...
... d’alcool.
• C’est vrai, j’avais oublié.
C’est debout devant la baie admirant la vallée au-dessus de Courchevel que les deux hommes commencent à se remémorer leurs souvenirs de soldat en Algérie.
La guerre, les fellagas, la peur, chaque fois qu’ils montaient la garde ou lorsqu’ils entraient dans un village du fond de l’Algérie.
Je m’y croyais tout en dégustant la tartiflette traditionnelle dans nos montagnes.
Nous vin blanc de Savoie, lui de l’eau, il a refusé le reste du coca que je mets dans mon whisky.
Jean lui parlait d’un endroit et il surenchérissait sur une anecdote, je m’y croyais, je refais la guerre de leur jeunesse.
Il est presque 23 heures, je vois Jean se lever.
Il fait l’impensable, il allume mes chandeliers, pardon nos chandeliers.
Pour moi c’est presque un crime, je vais atteindre ma trentaine et alors que j’aurais voulu être seule avec lui, même s’il est parfait, ce garçon me dérange.
Jean démarre un slow, Love Me Tender, mon slow celui qu’il me met chaque fois que mes chandeliers sont allumés et que je passe une année.
Il va au bar, se sert un digestif et va s’assoir dans son fauteuil.
Alexander se lève à son tour, contourne la table et me présente sa main.
• Voulez-vous danser jolie Mélina ?
Je prends sa main et il m’aide à me lever, lui montrant ma cuisse dénudée sortant de ma robe fendue.
Je veux me tenir à distance, je sais ce qu’Elvis représente pour moi quand je l’entends chanter.
Il me colle sans vergogne ...