La déchéance d'Hélène 03 - Histoires de Sexe

La déchéance d'Hélène 03

... le livreur, un jeune boutonneux de 18 ans, mit plusieurs secondes avant de me tendre les sacs.

Ça fera 35€ s'il vous plait, bredouilla t'il, ses yeux littéralement vissé sur mes nichons quasiment apparents. Je réalisait connement que je n'avait rien pris. Je me dirigeais vers le salon :

« Vincent, pouvez vous me donner de quoi payer le repas? »

Il se tourna vers moi avec un regard appuyé.....

« Franchement, Stacy, t'as toujours pas compris?.. » Il ne finis pas sa phrase, mais j'avais compris. Le mec était jeune, il fallait l'aider.

Je retourna devant la porte, fit mon sourire le plus aguicheur possible, bon vu son age et sa tronche, j'allais m'en tiré pour une pipe rapide, ça allait être bouclé en moins de 5 minutes.

Je lui dit. J'ai l'argent sur moi, mais que je le retrouvais plus. C'était un peu ridicule, car je portais vraiment peu de vêtement...

« Vous voudriez bien m'aider? je suis perdu sans un homme a mes côtés »

Le livreur n'osa rien, quelle truffe celui-là. Je lui pris la main, et la glissa dans mon décolleté, ce qui le fit réagir, il commença à pétrir mon sein, je le fit entrer, puis dégrafa son pantalon, avant de me mettre dans une de mes postures les plus communes en ce moment : A genoux devant une bite.

Je pris son membre en bouche, il sentait fort, mais ce n'était pas la pire des bites que j'avais sucé, et de loin. Le mec était jeune, j'avais l'expérience, et en moins de 5 minutes je sentis son membre se raidir une dernière fois. Je ...

... n'avais pas trop envie d'avaler, mais Vincent ne voudrait pas que je crache, et il ne fallait pas que ça goutte par terre, ou je devrais lécher.

Je sorti le membre de ma bouche et pointa l'engin sur ma poitrine, afin qu'il se vide sur mes seins. Après avoir joui, je le poussai dehors et ferma la porte.

Vincent refusa que je m'essuie avant de manger, et je passais le repas, en face de lui, mes seins dégoulinant de sperme. Heureusement cela sécha assez vite. Vincent me baisa ensuite à même la chaise, visiblement excité par ma pipe sur le livreur.

Il me laboura la chatte, cette fois si sans penser à mon plaisir (au moins je n'aurais pas la culpabilité de jouir)

Il me congédia ensuite dans ma chambre, sans autre formalités...

Encore une semaine de prostitution forcé, et Vincent vint me voire : Bon Stacy, tu travaille bien, ton père pourra etre fière de toi. Comme convenu tu as le droit d'écrire une lettre à ta famille.

Ça allait me faire du bien. De toute façon, quand Vincent ne me baisait pas, ni m'envoyait bosser sur un trottoir, je restais cloitré dans ma chambre à rien pouvoir faire. Au début j'appréciait ces moments de calme, mais maintenant l'ennuie était mortel.Ma nouvelle vie était très monotone :elle se résumait à quelques positions : allongé avec un mec dessus ; a genoux avec une bite en bouche, et assise dans ma chambre à mourir d'ennuie.

Vincent prenait soin de sa poule, m'amenant régulièrement chez l'esthéticienne, et chez le coiffeur, afin que je ...