1. Fratrie "de Wintzt" (4)


    Datte: 04/09/2018, Catégories: Gay Auteur: Calinchaud, Source: Xstory

    ... Wintzt »... et des murmures... Attentif au bien-être de nos invités, je ne me suis rendu compte de rien, mais je voyais les yeux de Paul devenir de plus froids, et son visage, se tétaniser peu à peu...
    
    Je me suis approché de Lui, et pour la première fois, il m’a repoussé en me disant d’une voix sèche... Laisse-moi...
    
    La soirée s’étiolait un peu et Paul en a profité pour prétexter une extrême fatigue et de prier nos convives de le laisser se reposer... Je n’avais jamais vu Paul fatigué... Même après des nuits de possession torrides où si moi, j’étais épuisé, lui... Jamais...
    
    Une fois tout le monde dehors, je rangeais un peu le désordre... Paul est venu vers moi et m’a empoigné violemment, jusqu’à notre chambre et mis nu en quelques secondes...
    
    Son sexe avait grossi encore depuis le temps de notre premier acte d’amour, et il s’est enfoncé dans moi comme un fou... D’une traite...
    
    25 centimètres de la chair de mon homme me laminaient, sa jouissance ne le faisait pas faiblir, il restait toujours aussi gros, aussi dur... Il m’a possédé pendant plus de 2 heures... Par tous les trous, dans toutes les positions... Jouissant, encore et encore, recommençant comme s’il ne voulait jamais s’arrêter... Ohne Ende... Nur und Nur...
    
    Jamais je n’avais eu mon frère aussi affamé, aussi insatiable... Il me pilonnait au fond de sa puissance, cherchant à me posséder jusqu’au dernier millimètre de son membre, son corps empestait la sueur, l’odeur du mâle en rut, et il me tenait ...
    ... de ses bras puissants pour que je prenne ses assauts qui me semblaient ne jamais se terminer...
    
    Nos parties de sexe avaient souvent été endiablées, mais c’était la première fois que Paul me possédait comme ça, que son sexe ne débandait pas, ne serait-ce qu’une minute...
    
    A sa sixième jouissance en moi, il s’est écroulé, nos corps ne faisaient qu’un et nos torses s’épousaient au centimètre près, ses poils, trempés faisaient ventouse sur ma peau...
    
    Quelques secondes après, mon Paul, mon homme, ce mâle si fort, mon frère ce héros, a explosé en larmes... Plus il pleurait, et plus il me serrait fort contre moi, à m’en étouffer... Je ne parvenais pas à tarir ce flot... Son corps sur moi, son merveilleux sexe encore dans moi, avec une taille toujours aussi conséquente, Paul pleurait dans mon cou à chaudes larmes.
    
    J’ai mis plusieurs minutes à le calmer, avec des baisers, des caresses, sur son dos, sur son torse, sur ses lèvres... J’avais l’impression d’avoir, dans mes bras, une cocotte-minute qui avait explosé.
    
    Il s’est redressé, a repris toute sa puissance, et après un baiser fougueux...
    
    — Partons Marc, quittons tout, vivons ailleurs, dans un pays où personne ne saura que nous sommes frères et où je pourrais enfin être pleinement ton Mari.
    
    — On peut pas Paul Chéri... Notre vie ici, notre famille, l’entreprise que tu diriges déjà.
    
    — M’en fous, Matthieu est là et il attend que ça...
    
    — Et nous ? Notre vie ?
    
    — Notre vie... C’est toi et moi pour toujours et ...