1. Voisin dominateur (4)


    Datte: 20/03/2023, Catégories: Gay Auteur: yphos, Source: Xstory

    Voisin dominateur 4
    
    Petite femme
    
    M. Paul notre voisin sexagénaire m’a enculé vigoureusement ! Pour mon dépucelage, j’ai été gâté ! J’ai atrocement mal pour marcher. Je me dandine pour rentrer chez moi, mais heureusement personne ne m’a vu (e).
    
    J’ai besoin d’une douche pour me remettre les idées en place. Je trouve dans l’armoire à pharmacie une crème qui soulage la brulure de mon anus, mais ressens encore dans mes tripes le bonheur d’avoir été défoncé par la grosse bite de M. Paul.
    
    Même si, au début, j’ai trouvé curieux qu’il me demande de m’habiller en femme et d’adopter un rôle de bonniche, j’ai apprécié de le faire. C’est dans cet accoutrement qu’il a troussé ma jupe et m’a prise de force.
    
    Je rêvasse devant la télévision quand maman rentre du boulot. Elle me demande :
    
    — Ça va ? Tu as l’air rêveur ?
    
    — Euh oui, oui, ça va et toi ? Tu as des nouvelles de papa ?
    
    — Oui, il m’a téléphoné, il va devoir rester plus longtemps en déplacement, il m’a dit qu’il pensait à nous, mais qu’il était obligé de rester sur place encore deux à trois semaines au moins !
    
    — Il passe sa vie au boulot ! On ne le voit jamais à la maison !
    
    — Il aime son travail, que veux-tu... Et puis, ce n’est pas plus mal comme ça...
    
    — Que veux-tu dire ?
    
    — Je me sens plus libre quand il n’est pas là, je peux sortir avec des amies et m’amuser..., tu comprends ?
    
    — Je ... Je crois.
    
    Quand maman s’éloigne, je ne peux m’empêcher de détailler sa démarche, ainsi que tous ses gestes ...
    ... et mimiques. J’ai bien l’intention de m’en inspirer pour aguicher mon amant de voisin.
    
    En trois ou quatre jours, ma douleur anale disparaît, faisant place à un grand besoin de me faire enfiler à nouveau. M. Paul s’occupe quotidiennement de son jardin qui est mitoyen au nôtre, mais il ne prête aucune attention à moi, même quand je tente de converser avec lui de l’autre côté du grillage qui sépare nos maisons.
    
    Pour me satisfaire en attendant son bon vouloir, je dois me contenter d’un concombre et fantasmer que c’est sa grosse bite qui me démonte le derrière.
    
    Le lundi, en début d’après-midi, il me parle enfin :
    
    — Alors, comme tu es en vacances et que tes parents ne sont pas chez toi, tu es disponible pour moi !
    
    — Oh oui, M. Paul ! Voulez-vous que je vienne ?
    
    — Ouais ! Viens tout de suite !
    
    — J’arrive.
    
    Je m’empresse de refermer notre maison et de rejoindre la sienne.
    
    Il est toujours vêtu de ses cottes pour m’accueillir. Dès qu’il a refermé la porte, je cherche ses bras, mais il me repousse et me dit :
    
    — Va te changer d’abord. Fouille dans l’armoire de la chambre, tu y trouveras ce qu’il te faut !
    
    — Oui... D’accord M. Paul.
    
    J’éprouve un plaisir nouveau en explorant l’armoire garnie de tous ces effets féminins. J’essaie plusieurs robes, différents dessous et, en conséquence, prend un peu trop de temps pour m’apprêter.
    
    Ce qui fait rugir M. Paul :
    
    — Alors tu ne vas pas y passer 2 heures ! Dépêche-toi poufiasse !
    
    Je me dis que ce ne devait ...
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