1. UN NOUVEL AN "CONFINE"


    Datte: 20/03/2023, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Patou bcbg mature pulpeuse, Source: Hds

    ... chambre, il me bloqua entre ses bras, me saisissant mes gros seins juste protégés par mon soutien-gorge.
    
    - Voilà ma belle, je vais te finir devant ton mari
    
    - Non Jérôme, s’il te plaît, il va se réveiller
    
    - Aucune chance, il dort à poings fermés, maintenant laisse, toi faire, ma salope…
    
    Il me força de prendre en bouche ma culotte détruite et inondée de sperme, me souleva une cuisse de sa main droite, et me pénétra pour un assaut final. Son sexe s’enfonça en moi et se mit à coulisser rapidement. J’étais en équilibre sur une jambe toujours bien plantée dans mes escarpins, alors que son sexe me ravageait, et que ses mains palpaient mes gros seins.
    
    - C’est ça grosse truie bouge bien tes hanches, tu sens bien ma grosse bitte. Tu aimes ça ma pute, dis-moi que tu jouis.
    
    - Hooooo, Ouiiiiiii, tu me rends folle, pas si fort, hummmmmmmm
    
    Je gémissais sous mon bâillon, jouissant comme une folle tout en regardant mon mari endormi. Sa main gauche s’était glissée en dessous de mon soutien-gorge pour me palper mes grosses mamelles qui ballotaient sous les ...
    ... coups de ses reins. Il continua à me pilonner debout. Il libéra mon vagin de son membre épais, qu’il poussa dans mon petit trou déjà largement dilaté. Il m’encula, toujours dans la même position. J’étais épuisée, anéantie, mais dans une autre dimension, n’écoutant que le plaisir, et le désir qui parcouraient mon corps. Je jouissais une fois de plus avec sa grosse bite bien enfoncée profondément dans mon anus alors qu’il continuait à détruire ma lingerie chic sous ses caresses de prédateur. Il se libéra enfin, et se vida en moi, ainsi que sur mes bas. J’étais comme une poupée désarticulée et regardais son sexe se libérer de sa semence qui coulait le long de mon corps. J’étais recouverte de sperme, épuisée, après avoir été utilisée par tous mes convives de toutes les façons possibles et imaginables. Nous restions tous les deux comme ça immobile, debout, dans l’entrebâillement de la porte de ma chambre. Il était 5 heures du matin, je me couchais enfin pour quelques heures de repos bien mérité après une soirée qui restera le nouvel-an le plus spectaculaire ma vie. 
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