Cousine peu farouche (1) - Histoires de Sexe

Cousine peu farouche (1)

... alors l’excitation m’envahir et, étant impulsive, je cède rapidement. Je pose mes lèvres sur les siennes tandis qu’il se colle contre moi. Je sens son sexe durcir contre moi et j’appuie d’autant plus mon corps fiévreux contre le sien. C’est un baiser chaste mais je suis quand même très émoustillée.

Gianni ricane puis il se lève et me tire contre lui :

— Je vais te montrer moi ce que c’est un vrai baiser. Pas vos trucs de gamins là !

Alors, il m’embrasse. Et quel bonheur ! Sa langue joue un ballet des plus érotiques avec la mienne. Instantanément, je suis prise d’une chaleur lubrique. Je suis excitée et je me colle volontairement contre lui tandis qu’il empoigne mes fesses avec force. Terry se met alors en colère et bouscule son frère à dessein, mettant fin au langoureux baiser. Je me précipite dans la chambre de Slohan, faisant comme si rien ne venait de produire...

La journée se déroule normalement. En soirée, je prends un bain avec Youri et puis, je me mets au lit. Plus tard dans la nuit, Terry me rejoint mais cette fois, il se montre vraiment entreprenant ; beaucoup plus que d’habitude. Il m’embrasse dans le cou puis caresse ma fine poitrine à travers mon pyjama. Je sens son excitation sur mes fesses, je me mets à me mouvoir contre lui. Je mouille énormément et lui, il respire très fort. On se frotte l’un contre l’autre sans même se soucier des autres qui dorment à poings fermés. Excitée, je veux qu’il m’embrasse, sentir sa langue dans ma bouche. Mais, quand ...

... je me retourne, je découvre que c’est Gianni en fait. Il m’embrasse langoureusement, lentement ; mordillant ma lèvre… douce torture. Tout en caressant mes seins il me dit :

— Je te préviens : soit on s’arrête là, soit je te baise !

— Euh… on devrait peut-être s’arrêter là alors ?

— Non ! J’ai trop envie de te prendre. Et de toute façon t’es pas ma sœur mais ma cousine donc, si tu es partante, rien ne m’empêche de te la mettre.

Puis, devant mon silence plus que parlant, il glisse sa main dans ma culotte pour venir jouer avec mon clitoris avec ses doigts. J’ai l’habitude de me toucher toute seule à cet endroit mais, les autres garçons, eux, ne me touchent jamais de cette façon. Son "travail" digital se concentre uniquement sur mon bouton d’amour. Je sais que je dois être silencieuse alors je me mords les lèvres et m’abandonne au plaisir. Il continue cette petite mais exquise attention jusqu’à que je sois tremblante... Jusqu’à ce que mon souffle ce fasse court, jusqu’à ce que sa main soit trempée de cyprine.

— Tu mouilles beaucoup c’est excitant me complimente-t-il.

Il porte ses doigts à sa bouche et les lèche. Cette vision me fait grimper au rideau.

— Comme tu es sucrée... Tu as bon goût tu sais.

Je décide finalement de lui rendre la pareille, il le mérite bien après tout. Alors j’attrape sa queue déjà bien durcie et après quelques coups de langue, je le prends en bouche. Je le suce avec passion et fougue : entendre son souffle rauque et sentir son sexe ...