Un plaisir partagé est un plaisir double (12) - Histoires de Sexe

Un plaisir partagé est un plaisir double (12)

... qu’elle allait bientôt jouir, et me demande de ne pas arrêter, alors je m’exécute.

Elle renverse sa tête en arrière, son corps spasme, je sens que son vagin se ressert autour de mes doigts. Je viens de lui offrir un orgasme.

Bob pendant ce temps tournait autour de nous pour avoir de images pour montrer en direct sur le net la jouissance de ma copine.

C’était fun, ce n’est pas souvent que je la fais jouir sans utiliser ma langue ! On est allongées l’une à côté de l’autre, on prend deux minutes de pause et c’est reparti.

Elle s’est magistralement occupée de moi . Allongée sur le dos, elle me retire mon string et se place entre mes cuisses, m’embrasse les seins et n’y va pas par quatre chemins : elle me pénètre directement avec ses longs doigts fins. Elle est assise sur ses genoux, place mes fesses sur ses cuisses écartées. J’adore cette position parce qu’elle permet un angle de pénétration profond. Et utilise sa main droite pour me pénétrer et son autre main pour stimuler mon clitoris. J’étais déjà pas mal excitée, tout est allé très vite, je lui demande de poursuivre plus fort, et j’ai jouis en moins de cinq minutes.

Je la déshabille à mon tour, lui dégrafant son soutien gorge pour libérer sa généreuse poitrine, ses seins malgré leur taille ne tombaient pas, et elle pouvait facilement se balader sans porter de sous-tif. Ses tétons plus gros que les miens la rendait plus excitante encore. Je lui ai également descendu sa petite culotte en bas des pieds, tout ...

... cela en direct sur l’écran, sous l’œil avisé de mon mari. Sur la toile cela commençait à s’exciter, le nombre de voyeurs était passé du simple au double et nous étions maintenant à la première place des cams les plus regardées.

Nous nous sommes mise en position de 69 l’une au dessus de l’autre, les cuisses grandes ouvertes, la chatte généreusement accueillante pour chacune de nous mais aussi pour nos fans qui avaient des images en gros plans de nos huîtres baveuses et inondées de cyprine. Notre tête entre les jambes de chacune de nous, notre langue furtive se glissait à l’intérieur de la commissure des lèvres à la découverte des saveurs gustatives de notre coquillage. Notre langue s’arrêtant sur la petite olivette qui gonflait comme une petite verge que l’on branlait et que l’on mordillait entre nos lèvres comme nous faisons aux hommes en leur faisant une petite gâterie. Ma copine commençait à me coincer la tête en resserrant ses cuisses. J’ai comprise qu’elle était prête à jouir une seconde fois. J’insistais à lui caresser son petit bourgeon de chair en essayant de lui maintenir les jambes écarquillées. Mais le plaisir, le désir et l’envie étaient trop fort pour elle qu’elle se mit à gesticuler dans tous les sens m’obligeant à lâcher son clitoris d’entre mes lèvres et d’arrêter toutes caresses vaginales.

La toile était bouillonnante, déchaînée et surexcité et les messages arrivaient si vite que nous n’avons même pas le temps de les lire et parfois de répondre lorsqu’ils ...