1. Ah les seins de Monique, meilleure amie de ma mère (1)


    Datte: 19/03/2023, Catégories: Hétéro Auteur: mortimer60, Source: Xstory

    ... que ça ? Tu ne me trouves pas trop vieille, trop grosse ? Je la pris dans mes bras sans rien dire, elle ouvrit sa bouche sur la mienne pour un premier baiser – mon premier baiser – tellement bon que je crois encore aujourd’hui sentir ses lèvres sur les miennes.
    
    Je ressens toujours le premier contact avec ses lèvres, puis sa langue qui rapidement me caressait les dents, puis cette sarabande entre nos deux langues qui dura, dura...
    
    Elle se doutait bien de mon inexpérience, et sans mot dire prit les choses en main : terriblement tactile, elle glissa une main sous ma chemise et me caressa la poitrine, jusqu’à trouver un mamelon qu’elle fit tourner entre ses doigts. Me voyant sur le point de craquer, elle retira sa main et porta ses doigts à sa bouche, les léchant doucement en me regardant dans les yeux, avant de retourner masser mon mamelon. Défaisant lentement les boutons de ma chemise, elle me couvrit de bisous d’une sensualité inouïe pour moi tout en continuant de promener ses mains partout.
    
    J’étais naturellement complètement libéré, et je pris à mon tour l’initiative pour me rapprocher de l’objet premier de mon fantasme : ses seins ! Après quelques difficultés pour trouver la fermeture éclair, je réussis enfin à les libérer et, complètement déchaîné, je palpai, léchai comme un fou ses magnifiques globes. Ils étaient ronds et majestueux, légèrement tombants, mais tellement doux, accueillants... et sensibles !
    
    Rapidement arrivés sur son canapé, les baisers ...
    ... reprirent tout aussi frénétiquement. Je compris vite que Monique était elle aussi vraiment excitée : toujours sans parler, elle me couvrait de baisers et de caresses des mains, de la langue... ou des seins qu’elle employait diaboliquement ! De mon côté, je découvrais que j’étais aussi attiré par d’autres parties de son corps : ses belles fesses se tenaient encore fort bien et je les pétrissais furieusement alors qu’elle se frottait à nouveau sur mon sexe libéré et qui ne demandait que cela. Elle ne parlait pas, certes, mais laissait échapper des râles de plus ne plus rapprochés et me regardait avec un regard dans le vague très explicite. Alors qu’elle me chevauchait et que je croyais qu’elle allait chercher à s’empaler sur moi, elle s’avança, me retirant ses seins de la bouche. Je découvris alors le bonheur de pratiquer un cunni. Elle était absolument trempée, ce qui me surprit d’abord, mais me ravit très rapidement.
    
    A cheval sur ma bouche, elle me fit lécher sa chatte pendant de longues minutes. Surpris tout d’abord, j’ai tellement aimé cela que j’étais sur le point de jouir moi-même quand Monique, tremblant et poussant des cris inarticulés, arriva à un orgasme formidable, m’aspergeant du même coup d’un incroyable flot de mouille. Après un long moment d’extase, elle vint s’allonger à côté de moi, me faisant gentiment comprendre que je devais arrêter un peu de la fouiller comme je le faisais avec ravissement.
    
    Elle me regarda avec tendresse, mais réalisa, un peu gênée tout de ...