1. Le piège. (9)


    Datte: 19/03/2023, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: hélène75, Source: Xstory

    ... l’hôpital.
    
    Elle me répond.
    
    — Comme c’est mon anniversaire, c’est l’occasion rêvée pour tester ces produits. Viens, allons dans ma chambre.
    
    Elle se lève, prend le coffret et quitte le salon. Je la suis en emportant avec moi les deux verres et la bouteille à moitié vide. Une fois dans sa chambre, elle me tourne le dos, retire pudiquement son chemisier, sa jupe et ses chaussures puis s’allonge à plat ventre sur le lit. Elle porte effectivement des bas autofixants et un ensemble string et soutien-gorge assorti de couleur rouge et noir. Elle est superbe et je bande comme un âne. Je viens près d’elle sur le lit et je parcours ses épaules et son dos avec le plumeau. Je lui dis :
    
    — Ils disent sur le mode d’emploi que la douceur du plumeau prépare la peau à mieux s’imprégner de l’huile de massage.
    
    Elle me répond :
    
    — Continue, c’est délicieusement bon !
    
    Tout en relevant légèrement le buste pour enlever son soutien-gorge avant de se remettre à plat ventre.
    
    Histoire de l’exciter et voir ses réactions, j’insiste avec le plumeau dans le creux de ses reins. Elle frissonne, remue légèrement les fesses et écarte ostensiblement les jambes. Je n’insiste pas, car je préfère jouer la prudence. Une fois le plumeau posé, je lui ressers une coupe de champagne. Elle se redresse pour la boire et je peux alors admirer le galbe de ses seins et la fermeté de son ventre. Pas un gramme de graisse, rien à jeter ! Une fois qu’elle est rallongée, je prends le flacon d’huile du coffret ...
    ... et en verse dans le creux de mes mains. Ensuite, je lui masse longuement la nuque, les épaules et le dos ; fermement au début pour dénouer ses muscles puis de plus en plus délicatement.
    
    Elle me dit :
    
    — Donne-moi une autre coupe de champagne et continue tes massages. C’est diaboliquement bon !
    
    Je lui ressers une coupe qu’elle boit aussitôt. Une fois que j’ai fini de lui masser le bas des reins, je reprends le plumeau et m’occupe de ses pieds. Elle gémit de plaisir, je ne sais pas si c’est sous l’effet du champagne, de la pilule ou du plumeau ; peut-être des trois à la fois.
    
    Je sais que c’est maintenant que tout se joue ; va-t-elle accepter la suite ?
    
    Avec le plumeau, je remonte le long de ses mollets, derrière ses genoux, derrière ses cuisses et sur ses fesses. Son corps a la chair de poule ; pas de froid, je suppose, mais d’excitation. Je refais le chemin inverse avec le plumeau tout en lui disant :
    
    — Maman, je vais retirer tes bas, je pense que ce sera plus agréable et cela va te délasser les jambes.
    
    Silence. Je guette sa réponse ! Enfin :
    
    — Oui, tu as raison ! Ce sera bien mieux !
    
    me répond-elle.
    
    Délicatement, de mes deux mains, je fais lentement descendre le premier bas le long de ses jambes puis le second. Elle ne porte maintenant plus que son petit string rouge et noir qui lui fait un popotin d’enfer. J’ai presque atteint mon objectif, mais il convient de continuer à avancer avec prudence.
    
    Je reprends le plumeau et lui caresse longuement ...
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