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    Datte: 18/03/2023, Catégories: fh, inconnu, Collègues / Travail amour, Voyeur / Exhib / Nudisme nopéné, amourpass, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... carte de visite. À mon grand étonnement, après l’avoir lue, elle insère la carte dans son décolleté. Elle s’en excuse aussitôt :
    
    — C’est que… je n’ai pas de poche…
    — C’est une bonne excuse… Bon, il va falloir que nous nous séparions, chère Élisa…
    — Oui, il est l’heure, Martial…
    — Vous permettez ?
    
    Je m’approche d’elle, je pose mes mains sur sa taille, elle ne bouge pas, elle se contente de me regarder. Sans la quitter du regard, j’incline lentement ma tête vers sa bouche légèrement entrouverte. Quand mes lèvres rencontrent les siennes, je reçois comme un grand choc électrique et visiblement, je ne suis pas le seul. Je l’attire à moi, puis je l’embrasse langoureusement. Élisa reste un peu passive, mais sans s’opposer à mon baiser. J’adore le goût de ses lèvres, la chaleur de son corps contre le mien, son parfum, tout !
    
    Quand nos lèvres se séparent, je la regarde longuement. Elle tremble un peu. Alors je la capture plus possessivement afin de lui donner un autre baiser beaucoup plus fougueux. Après quelques secondes d’hésitation, Élisa répond à mon baiser, ses mains autour de mon cou, ses seins écrasés contre mon torse, son ventre contre mon bas-ventre, enfoncés dans un tourbillon de saveurs et de senteurs, mes mains dans ses cheveux, mes mains sur son corps tout en courbes, ma bouche sur ses lèvres, dans son cou, ...
    ... entre ses seins. La tornade nous entraîne plus loin encore, elle répond fiévreusement à mes baisers, ses mains me cherchent. Enlacés, nos corps mêlés, nos jambes nouées, son corps contre le mien, son ventre qui ondule contre le mien, mes mains qui la parcourent partout, de ses fesses dodues, le long de son dos arqué à ses seins pointés. Je n’ai plus de notion du temps, cette étreinte devrait durer toujours. Nous restons longtemps à nous dévorer, corps contre corps, fusionnels, étrangement bien, flottant sur notre petit nuage.
    
    Puis nos lèvres se séparent à nouveau, nous nous séparons de quelques millimètres afin de reprendre notre souffle. La tête ébouriffée, son rouge à lèvres qui déborde, le corsage un peu défait, elle me fixe de ses yeux luisants. Assez déboussolé, j’essaye d’exprimer ce que je ressens :
    
    — Vous… Je… c’était… je n’arrive pas à mettre des mots, c’est fou !
    — Pareil pour moi… Ah si j’avais su, jamais je ne vous aurais laissé m’embrasser !
    — Vous regrettez vraiment ?
    
    Toujours blottie contre moi, elle hésite un peu avant de me répondre :
    
    — Comment dire… Avant je ne savais pas, maintenant je sais. Résultat, à cause de vous, je suis dans un sacré merdier !
    
    J’ai déjà entendu des déclarations un peu étranges, mais celle-ci les dépasse toutes ! Mais je pense que c’est de bon augure pour notre futur commun… 
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